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Accueil articles 2-lutte des classes et renaissance communiste

Novembre, la terrible mémoire des crimes anticommunistes de la répression de la grève des mineurs de 1948

2 novembre 2025
Temps de lecture16 mins de lecture
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crédit Photo Gastaud – IC

En ce 2 novembre, alors qu’à nouveau les députés PS unissent leurs voix à celles de la droite et de l’extrême droite pour soutenir un régime entièrement tourné contre la France des travailleurs, il est indispensable de se souvenir de l’histoire de France. La grande histoire, celle des luttes populaires. Celle qui nous apprend à ne pas être surpris que le PS soit toujours le parti de l’euro-austérité et de l’alliance contre la France des travailleurs avec les réactionnaires et même les fascistes.

Il est ici question de la grande grève des mineurs de 1948 et de sa répression. Un moment majeur de l’histoire de France qui forge, de façon incontestable et dans les faits, ce que sont le Parti socialiste et les « syndicats » dits réformistes — à l’époque, les travailleurs les qualifiaient de jaunes, de traîtres à la classe : CFTC et FO. Un moment qui démontre la nature du régime dans lequel nous vivons et qui désigne ce qu’est sa double allégeance : allégeance à l’impérialisme dominant et désormais hégémonique, l’impérialisme américain (en particulier de nos jours à travers l’Union européenne et l’OTAN, à l’époque à travers le plan Marshall), et allégeance bien sûr complète aux grandes fortunes. Pour un avenir de paix et de prospérité, de liberté et de démocratie, la rupture — hier comme aujourd’hui — s’impose. C’est une nécessité vitale

Le régime Macron-Le Pen fait la comédie à l’Assemblée pour imposer un budget d’euro-austérité en réalité écrit et dicté à Bruxelles dans le cadre du Semestre européen par le grand patronat et ses multinationales, ses grandes banques. Un régime de collusion du personnel politique issu du PS et de celui émanant de tout ce que le pays compte de remugles réactionnaires et fascistes, dont l’objet principal est d’interdire l’alternative politique, rouge et tricolore, dont la France des travailleurs en colère — des Gilets jaunes aux manifestations contre la réforme des retraites — fait proclamation. L’argent pour les salaires, pas pour la guerre ni pour les milliardaires ; le pouvoir à la Nation, pas à la dictature du grand capital et de ses guerres.

En 1948, c’est dans le sang des mineurs réprimés que s’est forgé, par le Parti socialiste, le marché européen : la violente répression accompagnant la mainmise impérialiste du capital US sur la France et le lancement, avec la CECA, de l’Union européenne… Une Union européenne qui a mis fin à l’industrie du charbon et liquidé celle de l’acier.

Dans le premier épisode d’un dossier spécial, animé de vidéos et de films d’archives, de documentaires radiophoniques, www.initiative-communiste.fr revient sur cet épisode trop méconnu, car censuré, de l’histoire de France. Dans le deuxième épisode, nous y reviendrons avec un livret photographique, écho à la brochure éditée par les mineurs avec André Fougeron, Le Pays des mines.

La mémoire est une arme décisive pour la lutte des classes. À Hénin-Beaumont, au pied des terrils et sur les carreaux de mines des grandes grèves des mineurs, le RN, fondé par ceux qui déportaient les mineurs, a voté en conseil municipal un monument de propagande pour criminaliser les communistes. À l’endroit même où les communistes ont mené les premiers les batailles pour la liberté de la France, pour sa reconstruction et pour l’émancipation, la liberté et la dignité de notre peuple. Les images d’archives des manifestations, violemment réprimées par la troupe en 1948, démontrent au passage l’alliance — comme en 1936 — du drapeau rouge et du drapeau tricolore, contre ceux servant les intérêts non pas de la Nation et de ses travailleurs, mais de l’impérialisme et de sa classe capitaliste supranationale.

Le contexte de la grève de 1948 : les mineurs CGT et PCF, fer de lance de la résistance, de la libération de la France et de sa reconstruction

Les mineurs, massivement engagés avec la CGT et le Parti communiste, ont été à l’avant-garde de la Résistance en France. Dès 1940 et 1941, avant même l’invasion de l’URSS par l’Allemagne nazie et ses alliés — dont le régime Pétain, investi par la quasi-totalité de la classe politique bourgeoise, venait d’interdire le Parti communiste —, les mineurs conduisent dans le Nord–Pas-de-Calais la plus grande action de résistance en France : la grande grève patriotique.

Des centaines de milliers de mineurs et leurs familles, organisés par le PCF et la CGT, passent à l’action. Ils entrent en grève. Par leur grève — avec 1,5 million de tonnes de charbon perdues — et par la baisse des rendements qui s’en est suivie durant toute la guerre, ils privent la machine industrielle de guerre nazie d’une énergie et d’une ressource essentielles. Alors que les nazis espéraient augmenter la production d’un tiers, celle-ci baisse en réalité de 30 % durant les années de guerre en raison de la résistance menée au fond par les mineurs.

Immédiatement, la bourgeoisie engagée à fond dans la collaboration, par ses directeurs des mines, ses ingénieurs et ses porions, dénonce les syndicalistes. La police et les juges français arrêtent 700 mineurs, tandis que des centaines d’autres sont obligés d’entrer dans la clandestinité. 270 mineurs sont déportés dans les camps de concentration. 130 sont fusillés à la citadelle d’Arras, parmi eux 90 militants du PCF. Le résistant communiste Julien Hapiot, héros de la grève patriotique des cent mille mineurs du Nord–Pas-de-Calais en mai-juin 1941, y est par exemple fusillé en septembre 1943.

À la Libération, ce sont eux qui, avec la bataille du charbon, apportent la contribution décisive à la reconstruction de la France. Les ministres communistes au gouvernement établissent le statut du mineur, avec des avancées vitales pour ces travailleurs, et la nationalisation des mines au sein de Charbonnages de France : le 14 juin 1946, Auguste Lecœur, sous-secrétaire d’État communiste au Charbon, promulgue le Statut du mineur. À l’élection législative de 1946, les communistes l’emportent, avec 28,8 % des voix.

Briser la résistance des mineurs, de la CGT et du PCF, pour rétablir la domination capitaliste de l’impérialisme américain avec le Plan Marshall et l’Union Européenne : le choix du PS contre la France et ses travailleurs

https://www.initiative-communiste.fr/articles/culture-debats/plan-marshall-le-mythe-de-laide-americaine-conference-dannie-lacroix-riz/

Mais, coup de tonnerre antipopulaire : Paul Ramadier, président du Conseil, exclut les cinq ministres communistes le 5 mai 1947. C’est que les communistes mènent la lutte pour faire appliquer le programme du Conseil national de la Résistance, alors que, coalisé avec la droite, le PS n’a pour but que de défendre les capitalistes, d’éviter — et pour cause — l’épuration contre les collaborateurs, et de préparer la grande union impérialiste avec les États-Unis.

Car dans le même temps, Washington veut sécuriser sa mainmise sur l’Europe de l’Ouest. George Marshall, ancien chef d’état-major de l’armée américaine en Europe devenu secrétaire d’État, présente un programme : le plan Marshall (lire ici). Ce sont des prêts aux États, et non des dons — un peu plus de 2 milliards de dollars pour la France. Les prêts ne peuvent servir qu’à acheter du matériel exclusivement américain.

Si, grâce aux communistes et à De Gaulle, avec l’appui de l’Union soviétique, la France a évité d’être placée sous occupation américaine avec l’AMGOT, et au contraire s’est retrouvée dans le camp des vainqueurs, le projet d’assujettissement de l’Europe par les États-Unis était bel et bien lancé.

Mais dès 1948, sous la pression du plan Marshall américain, les communistes sont chassés du gouvernement. Le gouvernement PS dirigé par Henri Queuille décide alors de remettre en cause la plupart de ces avancées sociales. Il choisit notamment de réduire les salaires des mineurs, dont la rémunération diminue encore sous l’effet d’une inflation galopante. Dans le même temps, la justice et le gouvernement protègent les contremaîtres (porions), les ingénieurs et les directeurs des mines, ainsi que les juges qui avaient servilement mené, sur ordre allemand, la répression contre les mineurs durant la guerre, en particulier lors de la grève de 1941. La plupart sont maintenus en poste, sans aucune épuration.

Durant toute l’année 1947, le ministre socialiste Jules Moch prépare la répression à venir contre les mineurs : il purge les CRS de leurs éléments issus de la Résistance, en particulier communistes, en supprimant onze compagnies de CRS, dont celles de Marseille, de la Loire et de Montluçon, trois importants bassins miniers. Il supprime ensuite le droit de grève dans la police puis, dès octobre 1947, déploie des centaines de militaires dans le Nord. Le 18 septembre 1948, le gouvernement passe à l’action et signe les décrets Lacoste, qui réduisent les salaires des mineurs et remettent au travail les mineurs atteints de silicose.

Avec l’aide de la CFTC et de FO, le gouvernement PS patron de Charbonnages de France devient un employeur aussi terrible que les Compagnies Minières de l’avant-guerre !

Face à l’austérité, la résistance populaire, la répression militaire et judiciaire. Le PS Moch fait tirer la troupe et rafler les syndicalistes

259 204 mineurs se réunissent et votent à 84 % la grève. Le 4 octobre, 340 000 mineurs sont en grève : le travail au fond est totalement à l’arrêt. Les mineurs occupent leurs puits de mine. Immédiatement, le ministre de l’Intérieur, Jules Moch, ordonne d’attaquer les grévistes. La chasse aux mineurs en lutte est lancée. Une violente campagne anticommuniste, dirigée par le gouvernement PS avec l’appui de la droite et l’extrême droite est relayée par les médias officiels : la grève serait insurrectionnelle, donc illégale, et masquerait un coup d’État préparé par le Kominform. Tout cela est totalement faux. Il s’agit en réalité de réassoir le pouvoir brutal et violent du capital en France et de servir les intérêts de Washington, qui renforce alors son emprise sur l’Europe de l’Ouest.

Le 21 octobre 1948, le journal conservateur ̎L’Époque ̎ titre, sous la plume de Frédéric VAUTHIER : ̎M. QUEUILLE, M. MOCH : bombardez les quartiers généraux ! Atomisez-les !  ̎.

Les blindés envoyé par le PS Jules Moch attaquent les corons et les puits de mines

Violant la Constitution, le ministre de l’Intérieur Jules Moch ordonne, par plusieurs directives successives, à l’armée d’ouvrir le feu sur les piquets de grève des mineurs aux abords des puits. Il rappelle 60 000 soldats stationnés en Allemagne. Six mineurs sont tués lors de fusillades, et d’autres meurent après avoir été emprisonnés.

  • 2 morts (les Mineurs BARBIER et GOÏO) et 30 blessés au puits Cambefort de FIRMINY dans la Loire,
  • 1 mort à ALÈS (le Mineur CHAPTAL),
  • 1 mort à MERLEBACH (le Mineur JANSEK roué de coups par les CRS).

Après que la police a tiré sur les mineurs à Firminy, près de Saint-Étienne, François Mitterrand, alors secrétaire d’État à la Présidence du Conseil, ment ouvertement en affirmant que ce sont les grévistes qui ont tiré les premiers — ce que 24 correspondants de presse présents sur place réfutent dans une déclaration commune.

Trois mille mineurs sont licenciés, expulsés de leur logement, placés sur liste noire, dont 117 délégués syndicaux. Au total, 1 342 grévistes sont emprisonnés, dans l’une des plus grandes vagues d’arrestations et de procès politiques de l’après-guerre. Les tribunaux prononcent 2 783 condamnations politiques, totalisant 1 073 années de prison ferme. Le ministre de la Justice exige la plus grande sévérité des procureurs, et le gouvernement, avec Jules Moch, surveille chacun des jugements. Ceux-ci sont rendus sur la base de lois d’exception applicables en temps de guerre.

Comble de l’ignominie, le ministre socialiste Daniel Mayer décide de supprimer le versement des allocations familiales aux familles de mineurs grévistes. De nombreux maires communistes des villes minières — à La Bouilladisse, Cadolive, Firminy notamment — sont emprisonnés ou suspendus. La répression est aussi médiatique : un arrêté du 6 décembre soumet à la censure tous les films non commerciaux, afin d’interdire La grande lutte des mineurs et la diffusion des films de la CGT et du PCF.

ace à une police et à une armée non épurées des collaborateurs, et se comportant comme en 1941, le slogan « CRS = SS » se répand partout en France.

Dès la fin de la grève, la bataille politique s’engage pour obtenir la réhabilitation et la réparation pour les mineurs et leurs familles victimes de la répression politique. Le Parti socialiste, en lien avec la droite, n’aura de cesse de s’y opposer. Il faut attendre 2015 pour que Christiane Taubira, sous la pression, reconnaisse le caractère discriminatoire et abusif des licenciements des grévistes. C’est le fruit d’une lutte menée sans jamais baisser la tête par les mineurs, appuyés par nos camarades communistes, tels que le maire de Grenay, Christian Champiré. Ce dernier, réussi à obtenir la création d’une commission parlementaire pour rétablir la mémoire et la reconnaissance de la résistance des mineurs et la réhabilitation de ceux cibler par la répression politique.

Détruire la France des travailleurs : l’OTAN et l’Union Européenne forgées dans le sang de la répression anticommuniste de 1948

Moch devient ministre de l’Armée, chargé de la transformation de l’armée française pour l’intégrer à l’OTAN. Avec Lacoste, Mitterrand et Schuman, ils sont les bâtisseurs de la CECA (1950, Communauté européenne du charbon et de l’acier) et de l’Union européenne. Dès les années 1950, dans la continuité du plan Monnet (1946-1950), leurs directives préparent la fermeture des mines, puis des usines d’acier. Pour atteindre cet objectif politique, il fallait briser la résistance de la Nation en commençant par sa classe ouvrière la plus organisée et déterminée : les mineurs.

Hollande, Macron et maintenant… Faure, la même politique, celle de l’Union Européenne du Capital…

Le marché commun du charbon entre en vigueur le 10 février 1953, et celui de l’acier le 1er mai de la même année. Le 11 août 1952, les États-Unis sont le premier pays, hors CECA, à reconnaître officiellement la Communauté, annonçant qu’ils négocieront désormais avec elle pour le charbon et l’acier, et installent leur délégation à Bruxelles. En réponse, Jean Monnet choisit Washington comme lieu de la première représentation extérieure de la CECA. Sur le premier bulletin de la délégation apparaît le titre : « Vers un gouvernement fédéral d’Europe ». Six ans après le traité de Paris, le 25 mars 1957, le traité de Rome est signé par les six membres de la CECA, instituant la CEE — c’est-à-dire l’actuelle Union européenne — un grand marché libéral et une structure politique supranationale écrasant les peuples européens.

Sans charbon, sans mines de fer, liquidant ses dernières aciéries — tels les fleurons d’Arcelor à Dunkerque ou Fos-sur-Mer, ou encore ceux de la vallée des « anges » — fermant ses usines automobiles, la France plonge désormais ses ouvriers dans la misère et le déclassement, à coups d’euro-délocalisations et d’euro-dumping antisocial. À l’exception de ce qu’il reste du service public de l’énergie avec EDF, son principal moteur industriel est l’aéronautique et l’armement. Pendant ce temps, ses milliardaires n’ont jamais été aussi riches.

Dans l’ombre des chevalements qui demeurent sur les anciens puits de mines à Lens, Liévin, Oignies, Gardanne ou Firminy, aucun travailleur ne peut oublier ce qu’est la nature du Parti socialiste sous ses différentes formes, de Jules Moch à Macron et Faure, en passant par Valls. Ni ce qu’est le cœur de la superstructure politique qu’ils ont contribué à bâtir, en complicité totale avec le FN de Le Pen (faisant campagne pour l’Europe contre le bolchévisme, à l’unisson des slogans vichystes) et en collaboration avec la droite réactionnaire : l’Union européenne, qui met la France en coupe réglée et exploite ses travailleurs.

JBC pour www.initiative-communiste.fr

1948 Grèves des mineurs à Valenciennes : intervention de l’armée

Suite aux grèves dans les mines, Jules Moch, ministre socialiste du gouvernement Queuille fait intervenir l’armée

Pour répondre aux ordres des USA et du Plan Marshall, le gouvernement PS avec l’aide de FO, nouvellement créé par la CIA, écrase dans le sang et les rafles la grève des mineurs

Affaires sensibles [France Inter ] : La grève des mineurs de 1948

Un récit documentaire d’Odile Conseil

avec pour invitée, Dominique Simonnot, ancienne journaliste au Canard Enchaîné, actuelle contrôleure générale des lieux de privation de liberté. Elle est l’autrice du livre Plus noir dans la nuit. La grande grève des mineurs de 1948 , paru en 2014 chez Calmann-Lévy

Sources Documentaires :

  • Livres :
  • Plus noir dans la nuit, La grande grève des mineurs de 1948, Dominique Simonnot, Calmann-Lévy, 2014
  • La Foi des charbonniers – les mineurs dans la bataille du charbon, 1945-1947, Evelyne Desbois, Yves Jeanneau, Bruno Mattéi, Editions de la MSH, 1986
  • Mineur de fond, Augustin Viseaux, Ed Plon/Terre humaine, 1991
  • Films :
  • La Grande Lutte des mineurs , Louis Daquin,  1948, Fonds audiovisuel du PCF et du mouvement ouvrier
  • La bataille du charbon 1944-1948, de Frédéric Brunnquell
  • L’honneur des gueules noires, de Jean-Luc Reynaud, 2012
  • Articles :
  • Marion Fontaine et Xavier Vigna, « La grève des mineurs de l’automne 1948 en France », Vingtième Siècle. Revue d’histoire, 2014/1 N° 121, p. 21-34.
  • Devenir victimes de l’État. La longue quête de réhabilitation des mineurs grévistes de 1948, Louise Clercq-Depret , Droit et Société, 2024
  • Grève des mineurs de 48 : après la répression, l’indemnisation, un article de Pierre Ropert, 18/09/2020, France Culture
  • Gaz lacrymogène : des tranchées de la Première guerre mondiale à un usage civil, un article de Pierre Ropert, 10/12/2019, France Culture
  • La réhabilitation des mineurs du Nord Pas de Calais plus de 70 ans après une grève qui a laissé une mémoire lourde de conséquences, 24/11/2020, Le Journal de l’Histoire, France Culture
  • Discographie :
  • RENAUD Adieu ch’terril d’rimbert 1993
  • ANNIE CORDY Marche des gueules noires 2010

SPOON Guess i’m fallin in love 2025

[Film] Réparer l’injustice – La réhabilitation des mineurs grévistes de 1948

Tags: CECACGTcrimes anticommunistesEuropeFOhistoirejaunesLutte des classesminesMineursparti communisteplan Marshallprocès politiquesPSrépressionUnion Européenne
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