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Accueil articles 2-lutte des classes et renaissance communiste

Les vrais assistés, les multinationales : la preuve par STmicroelectronics. La solution ? nationaliser pour un grand pole public de l’industrie !

23 décembre 2025
Temps de lecture12 mins de lecture
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STMicroelectronics, multinationale franco italienne des semi-conducteurs en Europe, a bénéficié ces dernières années d’un soutien public massif, avec des aides publics colossales : la France a ainsi validé et payé un soutien pris sur la dépense publique, évalué à 2,9 milliards d’euros pour le projet d’usine de Crolles dans la banlieu de Grenoble, co-porté avec GlobalFoundries. Une mesure validée sous condition par la Commission européenne en 2023.

C’est que ST est présenté comme un acteur stratégique pour la France : c’est ses usines et ses laboratoires qui fabriquent nombre des puces électroniques indispensables à l’ensemble de la chaine de production et aux biens d’équipement actuels. Historiquement, les sites français de ST concentrent production (Crolles, Tours, Rousset), R&D (centres à Grenoble, Crolles, Rennes) et activités de conception. Les investissements récents visaient à renforcer la fonderie et la production en grande série (Crolles) tout en augmentant la R&D pour des technologies de puissance et capteurs

https://twitter.com/Babar_le_Rhino/status/1999584131672314288

Mais ce n’est pas tout; l’assistanat va bien au delà : prêts et lignes de la Banque européenne d’investissement, crédits d’impôt (notamment le Crédit d’impôt recherche) et subventions régionales et nationales, les budgets coulent à flots ! Par exemple, ST est bénéficiaire d’une nouvelle ligne de crédit de la banque publique d’investissement BEI d’1 milliard d’euros qui est censé servir à soutenir la R&D et la montée en cadence industrielle — dont une part destinée à la France et aux sites comme Crolles

ST aurait ainsi reçu des centaines de millions d’euros d’aides directes et fiscales : le chiffre de 487 millions d’euros d’aides publiques pour 2023 (subventions, CIR, allègements) a été avancé lors des auditions parlementaires.

Pour autant, qu’en est il du bilan en matière d’emplois ? Là c’est la catastrophe totale. ST a annoncé en 2025 un plan de suppression massif d’emplois visant à supprimer 2 800 postes d’ici 2027, dont environ 1 000 en France, alors même que les aides publiques pour Crolles et la modernisation des sites reposaient aussi sur des promesses de créations nettes d’emplois. Et ce n’est pas le premier plan de suppression d’emplois : en 2016, STMicroelectronics a annoncé la suppression d’environ 1 400 emplois dans le monde, dont 430 en France. En disant en échange de 2 milliards d’euros d’aides publiques, c’est 5000 chômeurs de plus.

Des dividendes massifs versés aux actionnaires : 1.92 milliards d’euros entre 2016 et 2025

Chaque années, ST qui bénéficie de milliards d’euros d’aides publics, versent des centaines de millions d’euros de dividendes à ses actionnaires. Des dividendes qui sont en constante augmentation.

Détail année par année (approximatif)

  • 2016 : 0,24 € × 860 M actions ≈ 206,4 M€.
  • 2017 : 0,21 € × 880 M ≈ 184,8 M€.
  • 2018 : 0,21 € × 900 M ≈ 189,0 M€.
  • 2019 : 0,21 € × 890 M ≈ 186,9 M€.
  • 2020 : 0,16 € × 900 M ≈ 144,0 M€.
  • 2021 : 0,19 € × 900 M ≈ 171,0 M€.
  • 2022 : 0,21 € × 900 M ≈ 189,0 M€.
  • 2023 : 0,21 € × 902 771 081 ≈ 189,6 M€.
  • 2024 : 0,28 € × 898 175 408 ≈ 251,5 M€.
  • 2025 : 0,23 € × 893 326 717 ≈ 205,8 M€.
    • Total ≈ 1 917,6 M€.

une solution s’impose : la nationalisation. Car si la production est stratégique, si la Nation doit investir des milliards d’eurors, alors l’entreprise doit être controlée par la Nation. Et comme sa richesse est produite par ses travailleurs, c’est bien à eux qu’elle doit appartenir via la socialisation des moyens de productions.

Cette mesure simple, efficace, de salubrité et d’urgence économique, c’est un des points clé du programme communiste que propose le PRCF.

JBC pour www.initiative-communiste.fr


Restructuration ST – Avis CGT au CSE Central du 22 juillet 2025

En préambule, nous rappelons succinctement les avis ou déclarations des sites français. Au CSE de Grenoble, la CGT a déclaré que le CSE ne peut pas se considérer comme informé de quoi que ce soit sans aucune information sur les plans stratégiques et industriels des responsables des divisions. Aux CSE de Crolles, Tours et Rousset, consultés sur le volet 2, toutes les organisations syndicales dénoncent dans leur avis respectif, le manque d’informations transmises et les différents risques liés au projet d’entreprise. A l’unanimité les avis sur le projet d’entreprise sont défavorables.
Nous rappelons également le procédé déloyal de la direction de démarrer une négociation GEPP en même temps que la procédure d’information-consultation de
cette restructuration qui s’accompagne de délocalisation et de fragilisation de l’outil industriel, de suppressions d’emplois sur le sol français et de risques psycho sociaux organisationnel accrus.
Nous relevons que, pour les acteurs institutionnels que nous avons rencontrés, notamment pour le ministère de l’Industrie et la BPI, la signature de la GEPP par 3
syndicats représentatifs sur 4 donne l’illusion que tout serait bien maîtrisé à STMicroelectronics avec une stratégie précisément établie et que le plan de
restructuration serait largement accepté par les salariés.
Or, nous observons que malgré leur signature de l’accord GEPP en Central, les syndicats signataires critiquent aujourd’hui ouvertement ce projet de restructuration dans les CSEs locaux de Tours, Crolles, Rousset et Grenoble. Tous les syndicats locaux émettent une grande défiance quant au projet industriel. Cette restructuration n’est comprise ni par les salariés, ni même par les managers, quel que soit le niveau interrogé. Une défiance et un rejet se font même sentir parmi certains responsables. Ce constat est également partagé et relevé par l’expert Secafi dans son rapport et en séance.
La CGT regrette d’avoir été bien seule tout au long de la procédure lorsqu’à maintes reprises, elle a adressé ses nombreuses questions à la direction restées lettre morte par manque de soutien ; lorsqu’elle a refusé de voter l’expertise le 29 avril 2025 pour manque d’informations et lorsqu’elle a refusé de signer la GEPP qui n’est qu’une mesure d’accompagnement de la restructuration.

Ce 22 juillet 2025, le CSEC doit maintenant rendre un avis sur le projet d’entreprise
annoncé le 30 janvier 2025 par Jean-Marc Chéry et qui sera déployé jusqu’en 2027, alors que très peu d’informations précises et écrites ont été transmises par la direction de ST, permettant au CSEC de rendre un avis éclairé et motivé.

  1. Sur le plan stratégique
    La stratégie ne nous a pas été présentée et nous ne connaissons pas la roadmap « technologie » et la roadmap « produits », qui permettront d’atteindre un chiffre d’affaires de 18 Md$ en 2028 et 20 Md$ en 2030.
  2. Sur le plan économique
    Nous n’avons pas le détail des économies de coûts annuelles pour la France, par site, par organisation et par catégorie OPEX/Manufacturing par rapport au montant monde de 300 à 360 M$.
    Ensuite, nous n’avons pas d’informations sur les économies visées et sur les coûts estimés par l’arrêt et par le transfert des activités, sur les aides publiques et leurs montants dont a bénéficié chaque activité.
    Enfin, concernant les nouvelles activités prévues sur les sites de Crolles et de Tours, nous n’avons pas non plus d’informations permettant d’émettre une opinion, comme par exemple les investissements prévus, leur temporalité ou les business plan associés.
  3. Sur le plan industriel
    L’échéancier global et détaillé par site concernant les arrêts d’activité et les nouvelles
    activités n’a pas été communiqué. L’impact de ces activités qui s’arrêtent ou qui
    débutent sur le nombre de salariés par site, par catégorie de personnel reste une
    inconnue.
  4. Sur le plan social
    Le projet d’entreprise prévoit pour la France 1000 suppressions d’emplois et 2800
    mobilités internes, mais nous ne savons pas sur quoi se basent ces chiffres et quelle est
    la ventilation par site, par organisation.
    D’autre part, pour les sites dont des activités vont s’arrêter, selon le rapport de l’expert
    présenté en CSEC le 3 juillet 2025, 1250 salariés sur 4800 à Crolles et 114 salariés
    opérateurs sur 1303 à Tours seraient directement impactés par l’arrêt d’activités.
    L’expert n’ayant pas pris en compte toutes les fonctions supports, de développement,
    R&D, de planning, etc, nous jugeons que ces chiffres sont très largement sous-estimés.
    De son côté, la direction n’a pas voulu confirmer ou infirmer ces chiffres. Et elle n’a pas
    non plus voulu préciser combien d’emplois seraient nécessaires pour les nouvelles
    activités, et quel serait le besoin en emplois à horizon 2027 pour les activités
    maintenues.

Enfin, la direction n’a pris aucun engagement de proposer un emploi aux salariés
directement impactés par l’arrêt d’activités, comme la loi l’y oblige en tant
qu’employeur.

  1. Sur le plan santé, sécurité et conditions de travail
    La direction n’a présenté aucune évaluation des Risques Psychosociaux
    Organisationnels, aucune évaluation de la charge de travail pour les salariés OPEX et
    Manufacturing, qui vont devoir gérer, en parallèle de leurs activités courantes, toutes les
    activités d’arrêt et de transfert d’activités, sur lesquelles nous voyons déjà émerger une
    très forte pression.
    Aucune évaluation des risques chimiques, notamment sur le site de Crolles Seveso
    seuil haut, n’a été communiquée.
  2. Sur le plan environnemental
    La direction n’a présenté aucune évaluation impact environnemental du projet de
    restructuration. Nous n’avons pas de données sur le bilan carbone, sur le bilan
    énergétique, sur le bilan hydrique, sur le bilan PFAS, sur la dépollution à mettre en
    œuvre du fait de l’arrêt d’activités et du démantèlement des outils de production.

Ainsi, sur tous les plans, les membres du CSEC ne disposent pas d’informations
précises, concrètes, et écrites. Et cette obstruction volontaire de la direction
caractérise clairement une entrave au mandat d’ordre public des membres du
CSEC et aux règles légales d’information-consultation.

Malheureusement, comme le souligne aussi l’expertise, ce projet de
restructuration ne semble pas avoir d’autre objectif que celle financière
d’améliorer la marge opérationnelle et indirectement la rente des actionnaires.
Ceci se fait au détriment de l’avenir de l’entreprise, sans prise en compte de
l’impact environnemental ni considération pour les emplois et la santé des
salariés.

  1. S’agissant de l’avenir de l’entreprise en France et en Europe
    Jugeant comme stratégique le secteur des semiconducteurs, la Commission
    Européenne a pour projet de doubler la capacité de production de composants
    électroniques en Europe à horizon 2030, et pour ce faire, elle a notamment validé en
    2023 le projet Liberty (investissement de 7,5 Md€ dont jusqu’à 2,9 Md€ d’aides
    publiques de l’Etat français) ! Or, avec la restructuration voulue, nous voyons
    que STMicroelectronics va réduire ses capacités de production en France pour les
    délocaliser principalement tout ou partie en Asie, ce qui va à l’encontre du projet
    européen.

Par ailleurs, STMicroelectronics va également réduire ses effectifs, dans toutes les
organisations et notamment en R&D, alors que chaque année, ST bénéficie de plus de
100 M€ de CIR (Crédit Impôt Recherche). Ce choix incompréhensible et contestable
aura indéniablement pour conséquence de diminuer l’offre de STMicroelectonics en
nouveaux produits, en nouveaux développements technologiques, alors que c’est
indispensable pour gagner des parts de marché et maintenir la croissance de
l’entreprise.

  1. S’agissant de l’impact sur l’environnement
    Ce ne sont pas des déclarations d’intention ou de belles promesses que nous exigeons
    mais une démonstration avec chiffres à l’appui, plan d’investissement dédié, calendrier
    d’application et méthodologie appliquée.
    Si nous reprenons les problèmes soulevés depuis plusieurs mois : consommation
    massive de l’eau potable sur le site de Crolles et de Tours, pollution au PFAS pour ses 2
    sites, nous ne savons pas quels vont être leurs évolutions, dans le cadre du projet de
    restructuration, notamment du fait de l’augmentation de la production sur Crolles 300
    qui aura un impact important et croissant sur le besoin en eau.
    Nous savons que la délocalisation de la production GaN de Tours et la montée en
    volume de la production du SIC sur le site de Catane va faire exploser le besoin en eau
    pour cette île, déjà soumise au stress hydrique. Et, nous apprenons par nos collègues,
    que ST a prévu de ne plus utiliser uniquement l’eau industrielle fourni jusqu’à présent
    sur le site de Catane mais de puiser aussi (gratuitement) dans la nappe. Pour les 2 sites
    en développement, aucun plan pour permettre un recyclage (reclaim) de l’eau à hauteur
    de 60% (target technique donné par STMicroelectronics) n’a été présenté. Pour rappel,
    sur le site de Crolles, l’eau du reclaim ne représente que 2% de la consommation.
  2. S’agissant de l’impact sur la santé des salariés
    La direction de STMicroelectronics impose une restructuration brutale, supprimant
    l’activité de plusieurs centaines de salariés et obligeant plusieurs milliers d’autres à «
    transitionner » sans vraiment savoir, ce que cela veut dire. Les salariés ne savent
    toujours rien de leur avenir collectif et individuel. Il est répété à l’envie par la direction
    que les salariés ne seront obligés de rien par la sacro-sainte protection du volontariat.
    La CGT n’est pas non plus naïve et sera vigilante !
    Le flou est parfaitement entretenu par la direction, ne faisant qu’empirer une situation
    anxiogène pour les salariés. La direction prétend être à l’avant-garde de la lutte contre
    les risques psychosociaux alors qu’elle en est massivement à l’origine.
    La CGT considère que la direction manque à ses obligations de prévention de la santé
    des salariés et, c’est dans ce contexte, qu’elle a initié un questionnaire anonyme tentant
    d’évaluer l’état psychologique des salariés.

Au vu des résultats alarmants, la CGT a alerté la direction le 3 juillet 2025 en réunion
extraordinaire du CSEC, sur le fait que 8 salariés avaient répondu « Oui, de manière
préoccupante », à la question « Avez-vous déjà eu des pensées noires ou des idées liées
à une détresse psychologique (isolement, envie de tout quitter, épuisement émotionnel,
etc.) ?”.
Or, depuis nous n’avons reçu aucun retour de la direction sur la prise en compte de
cette alerte et les actions mises en œuvre.

Pour conclure. La CGT est totalement défavorable au projet de restructuration, qui est
un gâchis industriel, une occasion encore mise de côté par STMicroelectronics de traiter
la question environnementale et une casse sociale majeure. Mais, par-dessus tout,
cette restructuration est un scandale politique !
Délocaliser et supprimer 1000 emplois alors que STMicroelectronics va recevoir jusqu’à
2,9 Md€ d’aides publiques pour augmenter sa capacité de production et créer 1000
emplois, cela ne semble pas déranger Monsieur Ferracci, ministre de l’Industrie et
Monsieur Nicolas Dufourcq, directeur général de la BPI, qui ont apporté publiquement
leur soutien à la restructuration en projet. Mais suivant la tournure que va prendre la
restructuration, chacun devra répondre de sa responsabilité.

La CGT demande :

  • Le retrait du projet d’entreprise et une étude approfondie pour une stratégie
    ambitieuse garantissant innovation, croissance et création d’emplois en France ;
    A défaut :
  • La production d’un diagnostic RPSO, d’un volet environnemental et d’un plan de
    protection des publics vulnérables ;
  • La transmission au CSEC du cahier des charges LHH ;
  • Une expertise évaluant la stratégie de l’entreprise et tous ses impacts, avec au
    préalable la prise en compte de toutes les questions des OS et la transmission
    de toutes les informations par la direction ;
  • La mise en place d’un suivi tripartite mensuel par site avec construction
    collective des indicateurs de suivi (CSE – Direction – Experts)
  • Le respect des obligations légales en matière d’obligation d’emploi, de santé, de
    sécurité, et de consultation du personnel.
Tags: aides publiquesassistésIndustrieLutte des classesST Microélectronicsusine
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