Trajectoire obstinément réactionnaire et euro-atlantiste du nouveau premier ministre, conditions gravement antidémocratiques de sa nomination par Macron, arrangements de coulisse fort probables entre le RN et la Macronie en vue de faciliter l’investiture parlementaire de Barnier, appui enthousiaste exprimé par l’eurocrate en chef Ursula von der Leyen au négociateur du Brexit qu’est le nouveau premier ministre, déclarations antisociales et néolibérales univoques de ce dernier sur TF1 (comment Michel Barnier pourrait-il donc « améliorer la réforme des retraites » alors qu’il milite pour la retraite à 65 ans?)