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Accueil articles 1-PRCF

Bochévisme 2.0 : néo-menchévisme ou réaffirmation concrète du bolchévisme

10 décembre 2025
Temps de lecture11 mins de lecture
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Par Georges Gastaud, animateur du Secteur études et prospective du PRCF

Bolcheviks versus mencheviks, la boussole communiste : vu d’artiste par Initiative Communiste

En 1902, une crise grave secoua le Parti ouvrier russe à propos de questions organisationnelles qui recouvraient des divergences idéologiques et stratégiques plus ou moins assumées selon les cas. 

Centralisme démocratique

Conduits par Martov, les « mencheviks » (c’est-à-dire »minoritaires » en russe) prônaient la mise en place d’un parti ouvrier « ouvert », aux limites indéfinies, pratiquant l’adhésion-fantôme sur des bases floues, ouvert aux sympathisants sans idéologie définie; un parti-mouvement dans lequel les organes de presse et les organisations locales eussent disposé d’une large autonomie; cette orientation organisationnelle – que Lénine qualifiait de « désorganisatrice » – allait de pair avec une ligne politique de conciliation avec la bourgeoisie libérale dominée par le parti « cadet ». Quant à la prétendue orientation « vers les masse » des mencheviks, elle se traduisait surtout en pratique par le rejet basiste de la théorie marxiste et par l’ « économisme », c’est-à-dire la tendance – en réalité réformiste – à exalter les luttes revendicatives sans faire la clarté sur la question décisive pour un parti: permettre à la classe qu’il représente de conquérir le pouvoir politique et de transformer la société sur la base d’une perspective claire.

A lire : Le fil rouge ne sera jamais rompu ! Plus que jamais, le PRCF et la JRCF sont mobilisés pour la paix et les travailleurs !

Conduits par Lénine, les « bolcheviks » (le mot signifie tout bonnement « majoritaires » en russe) dessinaient au contraire un parti aux limites claires, dont les membres dussent reconnaître franchement le programme du Parti, être abonnés à son journal, payer leur cotisation avec régularité et au niveau requis, l’organe suprême du Parti étant le Congrès. Entre deux congrès, chaque membre du Parti devait reconnaître et assumer pratiquement la subordination de tous les organes centraux et locaux du Parti au Comité central élu par le Congrès, c’est-à-dire « tirer » dans une seule direction pour pouvoir frapper efficacement l’ennemi de classe. Cela pour servir une stratégie claire tendant à ce que Lénine appelait la « dictature révolutionnaire du prolétariat et de la paysannerie ». Tel était le « centralisme » démocratique des bolcheviks, un centralisme largement inspiré des jacobins français (les ennemis de Lénine le surnommaient ironiquement « Maximilien »- bel éloge involontaire en réalité !). En effet, les jacobins de 1793 étaient connus pour avoir préféré la « République une et indivisible » centralement dirigée par la Convention nationale (peu à peu délestée de ses éléments traîtres à la Danton) à la fédéralisation de la France que travaillaient à mettre en place les Girondins, alias « fédéralistes »: pour ces derniers, chaque département devait pouvoir agir à sa guise, ce qui signifiait l’éclatement de la France et la mort de la Révolution. Entre les bolcheviks et les mencheviks, qui ne voulaient se soumettre au Comité Central que s’ils le dominaient, le navigateur Trotski présidait la tendance politicienne dite des « interrayons » (miejdurayontsi) qui, de manière pseudo-centriste et pseudo-inclusive (comme on dirait aujourd’hui) prétendait réconcilier tout le monde, bolcheviks et mencheviks; c’est-à-dire en réalité, laisser la minorité politiquement confuse paralyser la majorité politiquement claire, entretenir un trouble permanent dans le parti, nourrir les luttes de tendances, bref, faire du Parti ouvrier tout ce qu’on voulait sauf une organisation de combat. Ces « interrayons » trotskistes ont du reste joué un rôle bien triste puisque, de facto, leurs incessantes entreprises confusionnistes et « centristes » ont empêché la création effective du Parti communiste russe jusqu’en 1917 et qu’elles ont fait du Parti russe pétri d’antagonismes irréconciliables une « Chose » invertébrée et politiquement ballottée au fil des rapports de forces politiques: c’est à cela que mettra fin la création du Parti communiste (bolchevik) de Russie, puis de l’Internationale communiste. 

Théorie révolutionnaire et rôle dirigeant de la classe ouvrière

A l’arrière-plan de ces divergences organisationnelles pointait une forte divergence sur le rapport du Parti prolétarien à la théorie marxiste : même s’ils comptaient dans leurs rangs l’estimable théoricien marxiste Plekhanov (qui se laissait hélas transformer en icone intellectuelle décorative par ses jeunes amis mencheviks…), les mencheviks méprisaient la théorie marxiste et refusaient de pratiquer l’approfondissement permanent de la ligne politique à sa lumière (cettre « analyse concrète de la situation concrète » que Lénine pratiquait au jour le jour), ils exaltaient la saine « pratique », se gargarisaient avec la « lutte des masses »; en réalité, ils tanguaient selon les saisons entre l’exaltation basiste pour les luttes populaires spontanées et l’abattement politique qui les gagnait très vite lors des périodes de contre-révolution. 

A l’inverse, les bolcheviks avaient compris qu’un parti prolétarien ne peut s’affranchir de la tutelle idéologique de la bourgeoisie sans s’arrimer au jour le jour à la théorie scientifique dont Marx et Engels, deux des plus grands savants du XIXème siècle, avaient donné l’exemple à leur époque en fusionnant le mouvement ouvrier émergent au meilleur des acquis scientifiques de leur temps. En effet, non seulement de véritables ouvriers communistes refusent l’ouvriérisme borné qui confine leur classe dans la lutte « économique » sans fin pour les salaires. De véritables ouvriers conscients du rôle historique et des responsabilités dirigeantes de leur classe, respectent le travail théorique et les intellectuels marxistes dévoués au peuple qui mènent ce travail. Les prolétaires bolcheviks savent que, sans ce travail, la classe dominée structurellement écrasée par l’idéologie bourgeoise ne peut pas s’affranchir de la tutelle idéologique de l’ennemi de classe et qu’elle peut encore moins s’émanciper de l’idéologie réformiste qui confine les travailleurs dans la quête sans espoir d’une « amélioration décisive » dans le cadre de l' »esclavage salarié » qui définit le capitalisme: en un mot, la classe ouvrière ne peut pas jouer son rôle d’éclaireur sans l’analyse marxiste sans cesse afinée du monde réel, elle ne peut pas exercer sa fonction d’avant-garde et in fine, elle ne peut pas unir le peuple travailleur pour isoler l’oligarchie et pour marcher, non dans les rêves puérils de quelques-uns, mais dans la pratique, vers la transformation socialiste de la société. 

Quand le menchevisme et le gauchisme français usurpent les habits de la « bolchevisation »…

De manière frappante, de tels débats reviennent aujourd’hui dans le mouvement pour la renaissance communiste française, à cette différence près que, de nos jours, le menchevisme se pare volontiers d’atours gauchistes, ultra-volontaristes et pseudo-révolutionnaires souvent prisés dans une partie de la jeunesse estudiantine encline à confondre vitesse et précipitation; sans voir qu’en période contre-révolutionnaire porteuse de guerre mondiale et de fascisation, la renaissance communiste est une longue marche qui ne peut être menée comme un sprint permanent. Lequel « sprint » ne devant intervenir qu’au moment le plus favorable à l’égal des situations révolutionnaires qui sont des processus objectifs. On voit ainsi les uns pencher pour un fédéralisme organisationnel avoué qui leur fait rejeter systématiquement les décisions majoritaires du Comité central, tenter de dresser les organisations communistes locales contre le CC « dictatorial », participer à des votes au sein dudit Comité Central tout en annonçant par avance que les minoritaires ne les respecteront pas, contourner, voire injurier sans trêve le secrétaire national, le secrétariat national, les vétérans de la Renaissance communiste, les instances d’arbitrage et le Comité Central lui-même… Et tout cela bien sûr en présentant ces débordements destructifs comme l’expression d’une ligne hyper-marxiste: il faut ce qu’il faut pour tenter de s’emparer d’une organisation franchement communiste de belle venue ou, quand l’échec de l’O.P.A. sur ladite organisation est consommé parce que son Comité Central a tenu bon, pour tenter une scission comme c’est aujourd’hui le but avéré d’une poignée d’aventuriers exclus de leur organisation-mère. Des aventuriers politiques qui, à défaut de construire par eux-mêmes la PME politique qui ferait d’eux des permanents (le Graal politique pour certains), essaient surtout pour le moment de fracturer, voire de spolier, l’organisation qui leur avait – hélas! – fait confiance!

A regarder : #vidéo : Que faire pour la renaissance communiste ? par Georges Gastaud

On a vu du reste ces scissionnistes gauchisants, non pas construire patiemment l’organisation à laquelle ils appartenaient encore hier, en amalgamant 
les diverses générations comme il se doit, non pas valoriser l’héritage théorico-idéologique patiemment construit par ladite organisation, non pas favoriser la bonne entente au sein de l’organisation entre ouvriers et éléments issus d’autres secteurs, mais non moins dévoués à la classe ouvrière, non pas oeuvrer à l’émergence concrète d’un parti communiste de combat, mais percuter de manière insolente les vétérans communistes garants de continuité historique, traiter de « conneries » superflues les discussions politiques et le travail d’élaboration théorique, juger « assez peu important » la lutte idéologique VITALE contre la criminalisation du communisme, s’imaginer naïvement que le sympathique mouvement « bloquons tout » est l’acte I de la révolution prolétarienne, proposer sottement, sans mesure du rapport des forces, de « faire de chaque entreprise de France une citadelle » de leur mouvement (il y a 600 000 entreprises en France…), mépriser la conquête de mandats syndicaux considérée comme une compromission, et en fait de « construction du parti », commencer par… scissionner leur propre organisation franchement communiste. Ce qui revient objectivement à faire gravement reculer la cause d’une Renaissance communiste effective, à tanguer de fait entre les tentatives de putsch interne avorté et l’annonce enfin assumée d’une scission dès longtemps planifiée, déchiqueter les bases du travail idéologique courant (en dénigrant au besoin I.C. et Etincelles), usurper salement les relations internationales de leur organisation, « faire feu sur le quartier général » à la manière des Gardes rouges maoïstes des années 60, exciter la jeunesse à se rebeller contre le Comité central de leur organisation (à la manière de Trotski quand, minoritaire dans le parti bolchevik, il en appela en 1925 à la jeunesse étudiante de Moscou en la qualifiant de « thermomètre de la Révolution »), présenter comme l’incarnation même de « la classe » deux jeunes travailleurs qui n’ont jamais dirigé la moindre grève (comme si la Renaissance communiste effective n’avait pas démarré sur les terres les plus prolétariennes de France: le bassin minier du Nord…). Bref, il s’agit là d’un gauchisme caractérisé qui tente d’AFFAIBLIR le courant communiste porteur d’Alternative rouge et tricolore; un gauchisme qui « se la joue » ultra-bolchevik tout en percutant dans la pratique les pratiques bolchéviques de base. Un gauchisme en un mot qui, tout en clamant « vivement le Parti ! « , ralentit le mouvement tant il fracture le mouvement destiné à reconstruire un grand Parti communiste français. Bref, un gauchisme qui tente, désormais publiquement, en France voire à l’international, de désorganiser la Renaissance communiste aux cris de « vive l’organisation ! », tout en travestissant cette version gauchie du menchevisme sous une une hyper-bolchevisation de carnaval.

A propos des faux-semblants d’une entreprise « conciliatrice »

C’est dans ces eaux troublées qu’émerge aussi, non pour résoudre la crise mais pour prendre le risque de l’aggraver, une tendance pseudo-conciliatrice qui, prétendant « réunir » l’eau et le feu, ignorant que les propositions de compromis déjà faites ont toute été piétinées dix fois, faisant abstraction de manière, non pas dialectique mais idéaliste, des antagonismes politiques parvenus à maturité, ne tend en réalité qu’à dresser les organisations de base contre leur direction nationale, contourne et dénigre les votes majoritaires effectués en CC, promeut de manière fractionnelle et avec force pétitions non-statutaires une « importante minorité » (en fait, une… minorité d’importants ?), recourt même à des éléments démissionnaires pour gonfler les effectifs de sa tendance, et n’aboutit objectivement  qu’à mettre en accusation le Comité central de l’organisation, qu’à contourner méthodiquement son exécutif mandaté et qu’à réhabiliter dangereusement des éléments dont tout le monde voit désormais clairement qu’ils fomentent aujourd’hui une scission faute d’avoir réussi leur O.P.A. sur l’organisation. En réalité, ce centrisme pseudo-conciliateur fait penser à ce que fit, à une tout autre échelle certes, Léon Trotski en 1925 (cf. ci-dessus), Karl Kautsky en 1919 (ce chef de file de la Deuxième Internationale en faillite prétendit créer une « Internationale Deux et Demi » – ainsi Lénine l’appelait-il ironiquement, soi-disant médiatrice entre l’Internationale jaune d’Ebert et l’Internationale communiste). On pense aussi à la tendance pseudo-conciliatrice de Jean Longuet qui, au Congrès de Tours de 1920, voulait bien « adhérer à l’Internationale de Moscou », mais, voyez-vous… en gardant dans le parti « communiste » le réformiste avéré Léon Blum ! Lénine a toujours dénoncé ce type de tendance « conciliatrice » comme destructive et confusionniste car lorsque les antagonismes politiques sont venus à maturité et que toutes les tentatives faites pour les apaiser les ont exacerbés, alors le véritable bolchevik doit se prononcer clairement entre les courants devenus incompatibles et non pas, en réalité, comme le font les « conciliateurs » autoproclamés, faire feu sur les dirigeants communistes cherchant à redresser la barre pour éviter le naufrage, contourner la direction mandatée, appeler les organisations locales à bafouer les décisions prises centralement, les inviter de facto à faire du « travail horizontal » (inévitablement fractionnel) en contournant la direction nationale élue. Et pour finir… noircir les dirigeants tenant la barre dans la tempête tout en réhabilitant des scissionnistes avérés qui, à peine maîtres du secteur orga et du bureau de la JRCF qu’ils ont voulu dévoyer, ont plus fait pour détruire le mouvement en 6 mois de temps que les vétérans n’ont pu faire en 20 ans, et au prix de mille efforts, sous la conduite de Léon, de Geo, de Pierre, de Simone, de Bernard et de Jacques Coignard, pour CONSTRUIRE ce socle de la Renaissance communiste et de l’Alternative rouge et tricolore qu’est l’irremplaçable PRCF…

Bref, à une échelle certes très réduite historiquement, les mêmes causes produisent les mêmes effets qu’à l’époque de Trotski, Kautsky ou Longuet. Dans une France ravagée par l’euro-décomposition sociale aggravée par la carence au long cours d’un PCF digne de son grand passé, dans un paysage idéologique dévasté où triomphent hélas dans une partie de la jeunesse intellectuelle des comportements grossièrement anti-vieux et pseudo « rebelles » (comme s’il ne valait pas mieux orienter sa fibre insurrectionnelle contre l’ennemi de classe plutôt que contre sa propre orga…) et sourdement individualistes (car un vrai démocrate applique les décisions prises quand il a accepté de voter à leur propos), un mélange toxique de gauchisme, de démocratisme petit-bourgeois, d’irrespect pour l’héritage communiste, voire de haine pour les vétérans du mouvement, continue de causer de lourds dégâts, et cela en pleine marche à la fascisation européenne (récente interdiction des PC tchèque et polonais…) et à la guerre mondiale. Mais il n’y a pas lieu de se décourager: les crises découragent les faibles mais trempent les forts. Sans mépris pour quelque personne que ce soit, sans oublier les apports positifs passés et présents des uns et des autres (y compris quand ils se trompent lourdement), en tendant encore la main à tous ceux qui, quelles que soient leurs opinions du moment, veulent travailler comme il se doit sous la direction du CC et de SON secrétariat, le combat continuera avec notre PRCF, avec son journal Initiative communiste, avec sa revue Etincelles, avec son site www.initiative-communiste.com, avec sa commission Luttes, avec son travail international tourné vers la renaissance d’une Internationale Communiste et Ouvrière. Tout cela, faut-il le dire contre les diffamateurs politiques qui font sottement courir le bruit inepte d’un retour du PRCF dans le giron du PCF muté, dans la perspective hautement réaffirmée de la reconstruction du Parti de combat, du renouveau du syndicalisme de classe, du Frexit progressiste et d’un socialisme-communisme de nouvelle génération reposant sur le pouvoir inflexible du peuple travailleur.

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