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Bolivie : la division réformiste profite à la contre offensive impérialiste de la droite, dans une mascarade électorale.

18 août 2025
Temps de lecture12 mins de lecture
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Coup de tonnerre dans les Andes. Pour la première fois depuis longtemps, la gauche n’est pas au second tour de l’élection présidentielle. Le candidat néolibéral Rodrigo Paz est arrivé en tête des élections présidentielles en Bolivie. Sans Evo Morales, le leader historique de la gauche anti impérialiste, la gauche s’est effondrée. Le parti MAS, sous l’impulsion de Luis Arce, l’a expulsé et paye le prix de cette stratégie de division et d’une politique refusant d’avancer dans la dynamique révolutionnaire en étant sanctionné d’un très cinglant 3,2 % des voix. Andronico Rogriguez, candidat de l’alliance populaire, président du Sénat et anciennement proche de Evo Morales, arrive troisième avec près de 400 000 voix.

Cela dans un contexte troublé qui a vu il y a à peine un an une tentative de coup d’état militaire à la Paz.

le candidat Rodrigo Paz, du Parti démocrate-chrétien, a remporté la victoire avec 32,14 % des voix. Derrière lui se trouve un homme politique bolivien de longue date, l’ancien président Jorge Quiroga, de la coalition Alliance libre , qui détient 26,81 % des bulletins valides .

Mascarade électorale organisée par l’Union Européenne

On sait que l’Union Européenne est rapide à dénoncer les résultats des élections dont les résultats ne lui conviennent pas. Cela a été le cas de tous les réferendums où les nations européennes lui ont ordonner de dégager ses salles pattes prédatrices ultralibérales, de la France au Danemark en passant par les Pays Bas, l’Irlande ou la Grèce. Mais c’est aussi le cas lorsque l’Union Européenne décide en violation tout aussi flagrante des élémentaires principes démocratiques de désigner de concert avec les USA le président qu’elle entend choisir pour le Venezuela. Ou encore lors que l’Union Européenne a choisi de soutenir le coup d’état de Anel, contre Evo Morales, vaingueur des élections en Bolivie à l’automne 2019. En 2020 après avoir fait échec au coup d’etat dans la rue, les boliviens rétablissent le pouvoir du Mas dans les urnes, en élisant à 53% des voix dès le premier tour, Luis Arce. Mais le gouvernement Luis Arce fait face à de violentes actions des secteurs réactionnaires. Et il ne réussit pas à maintenir l’unité de la gauche, entretenant la fracture avec Evo Morales. Dans ce contexte de division, le choix est fait de bloquer par la répression et par la force la candidature d’Evo Morales.

Ces élections apparaissent comme une mascarade : après avoir invalidé le parti de l’ancien président Evo Morales, c’est ce pretexte qui le 6 juin a permis d’empêcher sa candidature à la présidentielle. Provoquant une irruption de colère populaire avec l’organisation de barrage sur les routes. En mai déjà, la police de Arce avait rétabli un mandat d’arrêt contre Evo Morales… émis par le régime putschiste de 2019 !

Bolivian police once again are repressing protests by Evo Morales supporters who are calling for him to be allowed to stand in this years elections.

The person pictured here is my friend, Efraín Seña, a rural worker from Cochabamba. Arrested by the government he fought to elect. pic.twitter.com/ikKey6W8A7

— Ollie Vargas (@OllieVargas79) May 29, 2025

Sans surprise c’est bien cette mascarade électorale que soutien l’Union Européenne. Evo Morales dénonce ce 16 aout : ‘L’Union européenne, qui se présente comme la gardienne de la liberté, du pluralisme et de la participation, légitime un processus électoral défectueux, dénué de légitimité et contraire aux principes qu’elle prétend promouvoir. Alors qu’un mouvement politique est proscrit et que les tropiques de Cochabamba et du nord de Potosí sont stigmatisés, territoires à forte présence indigène, paysanne et populaire, l’essence même de la démocratie est violée. Nous rejetons catégoriquement ces déclarations discriminatoires et remettons en question le deux poids, deux mesures international qui passe sous silence le génocide à Gaza et ignore les crimes coloniaux. La défense de la dignité nationale, de la justice et des droits collectifs est un principe non négociable.’

Une démonstration, à nouveau, qui ceux qui se prétendent internationalistes car ne combattant pas l’Union Européenne – tout en dénonçant ceux qui veulent en briser les chaines comme « nationaliste », se trouvent en réalité uniquement dans le camps de l’impérialisme, de la bourgeoisie et de son néocolonialisme.

Gauche révolutionnaire triomphante, réformisme perdant

Le MAS d’Evo Morales a remporté toutes les élections de 2005 à 2020 avec une majorité écrasante, grâce à la nationalisation des ressources, à la redistribution des richesses et à la transformation de la Bolivie, pays le plus pauvre, en l’économie à la croissance la plus rapide de la région. Pilier de l’Alba, la Bolivie est alors l’une des nations d’amérique latine engagé dans une solide dynamique progressiste, resistant à l’impérialisme américain. Sur une base de classe solide, totalement tournée vers les travailleurs, le parti était alors dirigé par des mouvements indigènes, alliés aux syndicats et à la classe moyenne progressiste.

Mais cette coalition s’est disloquée après 2020, dans la suite du coup d’état impérialiste qui a écarté Evo Morales de la présidence. Alors que le peuple bolivien, et tout particulièrement les syndicats et les indigènes chasse les putchistes, c’est Luis Arce qui , Evo Morales étant empoché, accède au pouvoir pour le MAS. Mais ce dernier, sous pression, n’engage pas la dynamique révolutionnaire seul à même de résister au coup de force de la droite. Il renforce la faction de la classe moyenne et interdit à Evo de se représenter, tout en donnant des gages aux milieux bourgeois. Le pays s’enfonce dans la crise politique et économique.

D’après l’observateur Ollie Vargas, de Telesur, au départ, la scission n’était pas idéologique, mais concernait l’accès aux emplois et aux contrats publics. La faction d’Evo en fut exclue, tandis que les partisans d’Arce craignaient de perdre leurs nouveaux privilèges si Evo revenait au pouvoir. Les tensions internes éclatent en polémique lorsqu’il faut choisir le nom du candidat à la présidence. Arce avec l’appui des tribunaux, s’arroge contrôle légal du MAS, excluant ainsi Evo. Cette scission provoqué par Arce, le fragilise au Congrès. Sa politique réformiste est bloquée. De fait, les classes populaires observent avec consternation l’affrontement conduit par ceux qui privilégient leurs maintient au pouvoir que l’engagement de la dynamique révolutionnaire seul à même d’adresser les solutions à la crise économique. L’effondrement économique a éloigné les électeurs du MAS. Les communautés autochtones rurales sont restées majoritairement fidèles à Evo, tandis que la classe moyenne urbaine a basculé à droite. Le ministre de l’Intérieur Eduardo del Castillo, désormais candidat du MAS à la présidentielle, était à l’origine de la guerre contre Evo. Ses ambitions personnelles ont ruiné le parti, qui atteint désormais à peine 3 % des intentions de vote dans les sondages. Suite à l’interdiction de leur candidat, les partisans d’Evo, majoritairement autochtones, ont décidé de boycotter les élections. Ils ont aujourd’hui démontré qu’ils constituent toujours la plus grande partie de la gauche (et que l’interdiction d’Evo a été un désastre). 1,2 millions d’électeurs suivent ainsi l’appel à voter nul, soit presqu’autant que les deux candidats retenus pour le second tours (respectivement 1.3 et 1,5 millions des voix).

Pour le parlementaire du Mercosur Oscar Laborde interogé par Telesur : « l’histoire montre que, dans ces processus, « soit on avance, soit la droite prend le dessus », affirmant que 
« la surprise de la défaite du MAS n’était pas une surprise, mais plutôt la chronique d’une mort annoncée ». Concernant le pouvoir législatif, qui restera aux mains des secteurs conservateurs, Laborde a expliqué que le leadership charismatique de personnalités comme Evo Morales peut devenir préjudiciable si ce dernier ne parvient pas à obtenir un poste après la présidence, comme cela s’est produit dans d’autres pays de la région. »

Evo Morales souligne au soir des élections : « Nous exprimons notre profond respect et notre admiration aux camarades et militants de notre instrument politique qui, en moins de deux semaines de campagne pour le vote nul, ont obtenu un résultat historique. Notre protestation a été entendue : nous avons voté, mais nous n’avons pas élu, et le peuple a clairement fait comprendre que la démocratie ne peut se réduire à une simple procédure administrative. De même, le peuple a envoyé un message sans équivoque à ceux qui se sont corrompus en politique et ont trahi les plus humbles. La Bolivie ne veut ni privatisations ni persécutions par un système judiciaire clientéliste ; elle exige la reprise économique, la stabilité, la croissance et davantage de démocratie. »

Il fustige également l’impasse politique construite par ceux refusant de poursuivre la dynamique révolutionnaire, pavant la voie des contre attaques de la droite à la solde de l’impérialisme américain. « Le modèle néolibéral proposé par les candidats de droite comme solution à la crise laissée par Arce produit depuis 20 ans : • 7 Boliviens sur 10 vivent dans la pauvreté • 94 % des campagnes et 53 % des villes ne couvrent pas les besoins de base • 36 % dans la pauvreté • Malnutrition chronique chez 40 % de la population • 1 Bolivien sur 2 est absolument ou fonctionnellement analphabète • La part industrielle du PIB est passée de 22 % à 14 % • Dans 6 ménages sur 10, l’économie dépendait du travail de la femme et des enfants mineurs • L’armée des chômeurs s’est agrandie, se tournant vers le commerce informel. Deux millions d’entre eux ont émigré, principalement au Brésil, en Argentine et aux États-Unis. • Entre 1933 et 1988, la Bolivie a créé 213 entreprises publiques ; 157 ont été privatisées, avec des pertes directes de 22 milliards de dollars. En 14 ans, nous avons inversé ces indicateurs désastreux. Prétendre qu’Arce a suivi notre modèle économique est un mensonge : il a passé cinq ans à détruire des entreprises publiques, à stopper l’exploration du lithium, de l’hydroélectricité, du gaz et des projets Mútun. »

Pour Ollie Vargas, la situation dramatique actuel doit être une leçon : « Cette défaite n’était pas inévitable. Elle est le résultat d’une gauche déchirée par la question de savoir qui récolte les fruits de l’État – un sort qui peut être réservé à tout mouvement une fois au pouvoir. L’utilisation par Arce de l’État (police et tribunaux) pour régler le conflit par la persécution a été le clou du cercueil. »

Cette situation et ce résultat apparaissent aussi comme le fruit pourri du coup d’état d’Anez, qui s’il a échoué à court terme, a réussi à déstabiliser et le pays, et les forces progressistes bolivienne. A l’image de ce qui a été également réussi en Equateur après l’éviction de Rafael Correa et d’un Glas enterrant la révolution citoyenne. Une énième preuve que réformes sont le produit de l’engagement révolutionnaire, jamais l’inverse. Et également de la nécessité pour tenir face aux vagues d’attaques des capitalistes et de leurs soutiens impérialistes, de la construction d’un solide parti de la classe des travailleurs. Qu’il vienne à manquer, de la France à la Bolivie, et la situation devient une impasse politique… et électorale, pour les travailleurs.

JBC pour www.initiative-communiste.fr

d’après information d’agence.


Rodrigo Paz, une des figures de la junte compradore

Les communautés rurales et indigènes de Bolivie ont boycotté les élections présidentielles d’hier, déposant des bulletins nuls pour protester contre l’interdiction faite à Evo Morales de se présenter. Les dirigeants centristes et de classe moyenne du MAS ont tenu leur soutien pour acquis. Mauvaise décision.

https://twitter.com/OllieVargas79/status/1957391611333156961

Dans la ville d’Evo Morales, Villa Tunari, c’est 100% des électeurs qui ont voté nul.

Rodrigo Paz Pereira est né en 1967 en Espagne, à des milliers de kilomètres de l’Altiplano, alors que sa famille était en exil pendant la dictature militaire de son pays. Il avait 12 ans lorsque son père fut le seul survivant d’un raid aérien présumé.

Il est le fils de l’ancien président bolivien Jaime Paz Zamora (1989-1993), qui a gouverné sous les auspices du dictateur Hugo Banzer après l’« Accord patriotique » qui a permis à Paz Zamora de recevoir le soutien du Congrès et d’être investi président.

En 2002, Rodrigo Paz est entré au Congrès comme député du département de Tarija , mais entre 2010 et 2020, il est retourné dans la ville du même nom, où il a d’abord été conseiller municipal, puis maire. Plusieurs projets qu’il a promus dans cette ville ont été remis en question en raison de surcoûts présumés et de défauts d’exécution.

Au cours des cinq dernières années, il a été sénateur national pour l’Alliance Citoyenne , dirigée par l’ancien président Carlos Mesa. Selon l’expert Hugo Moldiz, le profil politique de Paz s’est forgé au sein de cette chambre législative, où il a maintenu des interventions critiques mais constructives envers le gouvernement de Luis Arce.

En 2019, il a rejoint la Coordination pour la défense de la démocratie, qui a joué un rôle clé dans la crise politique bolivienne . Le groupe a activement milité pour un second tour des élections, arguant de fraudes présumées. Les allégations avancées par la Coordination ont contribué à l’annulation des élections générales et au coup d’État qui a renversé le président Evo Morales .

Le plan de gouvernement de Paz et du Parti Démocrate Chrétien , intitulé « Agenda 50/50 », parle d’ une supposée « asphyxie » dans laquelle l’État concentre près de 85% du budget national, et propose un modèle qui redistribue les fonds en deux, une pour le niveau central et l’autre pour les entités territoriales et les universités publiques.

Il met également l’accent sur la réforme de la justice et la lutte contre la corruption, qu’il décrit comme un problème structurel dans le pays. Paz se présente aux côtés d’Edman Lara, ancien capitaine de la police nationale, démis de ses fonctions en 2024 suite à une procédure disciplinaire .

Dans un contexte politique polarisé, la candidature de Rodrigo Paz cherche à occuper l’espace de centre-droit, se présentant comme une alternative au discours plus conservateur de Jorge « Tuto » Quiroga. Cependant, sa proposition ne représente pas une rupture avec le passé, mais plutôt une continuation des politiques néolibérales qui ont marqué les années 1990.

Né en 1960, Jorge « Tuto » Quiroga est un personnage récurrent de la politique bolivienne, incarnant la continuité d’un modèle conservateur étroitement lié aux intérêts économiques des élites et à l’influence des États-Unis . Sa carrière, marquée par la défense des politiques néolibérales et une opposition farouche au Mouvement vers le socialisme (MAS), l’a imposé comme une figure incontournable de l’extrême droite du pays.

Quiroga a suivi une formation d’ingénieur industriel au  Texas et a travaillé pour la multinationale  IBM . Il a débuté sa carrière politique en 1989 comme sous-secrétaire à l’Investissement public et à la Coopération internationale au ministère de la Planification, sous le gouvernement de Jaime Paz Zamora, père de son rival aux élections actuelles. En 1997, il a été vice-président d’Hugo Banzer, l’ancien dictateur qui a dirigé la Bolivie pendant deux mandats .

Après la démission du président de l’époque, Quiroga a assumé la présidence entre 2001 et 2002. Durant son bref mandat, il a mis en œuvre des politiques d’ouverture du marché et de privatisation, suivant les directives du Fonds monétaire international (FMI) .

À partir de 2006, Quiroga est devenu l’un des principaux opposants au projet politique d’Evo Morales et du MAS. Au cours des deux décennies suivantes, il a formulé des discours critiques et promu des initiatives pour affronter le gouvernement, se positionnant comme un leader de la droite bolivienne.

Son discours a porté sur la défense de la propriété privée, la promotion des investissements étrangers et la critique des politiques sociales mises en œuvre par le MAS. Il a également promu des initiatives visant à criminaliser les mouvements sociaux, acteurs clés de la défense des droits des peuples autochtones et de la promotion de la justice sociale.

Au fil des ans, Quiroga a consolidé son image d’homme politique conservateur, aligné sur les intérêts des États-Unis et des secteurs les plus réactionnaires d’Amérique latine . Il est un allié des anciens présidents colombiens Álvaro Uribe Vélez et Iván Duque, de la dirigeante d’extrême droite vénézuélienne María Corina Machado et de la présidente espagnole Isabel Díaz Ayuso du Parti populaire. Il est également proche du président argentin Javier Milei et du président équatorien Daniel Noboa.

Tags: bolivieevo moralesinternationalLuis Arcemas
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