
Tout est bon pour ce gouvernement fascisant dont les « annonces fracassantes » en « réponse » au prétendu « Grand Débat » ont lamentablement fait « pschitt ».
Voilà que maintenant Castaner invente de toutes pièces une « attaque » contre un hôpital alors que, de toute évidence, ce sont des manifestants pacifiques fuyant un « nassage » policier musclé (un de plus !) qui ont été traqués par la « police républicaine » de Macron dans l’enceinte d’un établissement de soins. Les personnels hospitaliers témoignent d’ailleurs qu’ils n’ont en rien été menacés ou inquiétés par les manifestants poursuivis.
Ce ministre, revenant un jour plus tard sur le terme d’ « attaque » sous la pression de l’absurdité d’une telle accusation, n’en est néanmoins pas revenu sur le fond alors que les vidéos désormais accessibles démontent formellement la version de ce sinistre escroc siégeant place Beauvau.
Ce ministre dont la police a agressé hier la direction de la CGT et a provoqué le départ du cortège de la FSU ne sait plus quoi faire pour réprimer le mouvement populaire et pour tenter de le discréditer en mentant délibérément. Même la droite, en la personne de M. Retailleau, s’inquiète de tels procédés minables.
Àl’unisson de forces progressistes et syndicales dignes de ce nom, nous demandons la démission immédiate de Castaner.
Et nous posons plus que jamais la question de la légitimité de ce pouvoir minoritaire, au service d’une caste oligarchique, qui détruit les conquêtes sociales, les libertés démocratiques et la nation pour servir ses seuls maîtres : MEDEF, CAC 40 et UE supranationale du grand capital.
La fascisation est de moins en moins rampante dans notre pays comme dans toute cette Europe de plus en plus vomie par la classe ouvrière et par les vrais progressistes.
Plus que jamais clamons l’illégitimité profonde de ce régime qui n’est qu’une caricature de « république », de son UE de malheur et de la mascarade des « élections européennes » destinées à donner une façade démocratique à une construction entièrement despotique.
Et surtout, à l’action durant tout le mois de mai avec les syndicalistes de classe et les courageux Gilets jaunes. Ceux qui gagnent, ce sont ceux qui luttent.
Georges Gastaud, secrétaire national du PRCF, Jo Hernandez, secrétaire aux luttes, Gilliatt de Staërck, animateur des JRCF
Rappelons qu’à l’infox sur l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière il faut ajouter celle sur l’invasion d’un commissariat à Besançon, démentie par la préfecture locale, mais relayée toute la journée par les médias, Radio France en tête.
Les vidéos qui montrent qu’il n’y a pas eu d’attaques de l’hopital, mais bien une attaque contre les manifestants.
Dès le 1er mai après midi, l’équipe de www.initiative-communiste.fr avait identifié des vidéos sur les réseaux sociaux démontrant le mensonge éhonté de Castaner repris par les chiens de garde médiatique.

Ces vidéos censurées hier par les principales chaines de télévision ont depuis fait le tour des réseaux sociaux
la demonstration par GJScience
les explications de Libération :
Un témoignage sur la violence des attaques policières contre la manifestation du 1er mai
Nos camarades du PRCF IdF et des JRCF en ont témoigné, les attaques – charges, grenades, coups de matraques, gazage intense et permanent et nassage complet – contre la manifestation du 1er mai ont été d’une violence rarement vue, sans précédent depuis des décennies.
Le témoignage de Philippe Martinez SG de la CGT
https://www.liberation.fr/france/2019/05/02/philippe-martinez-le-ministre-de-l-interieur-a-cree-un-climat-de-guerre-civile-avant-meme-la-manifes_1724572
Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a réussi tant bien que mal à manifester à Paris mercredi à l’occasion du 1er Mai. Il revient pour Libération sur cette journée, au cours de laquelle les cégétistes n’ont pas été épargnés par les tirs de lacrymo, et dénonce les consignes données aux forces de l’ordre par les autorités.
Vous accusez la police d’avoir chargé la CGT, lors de la manifestation du 1er Mai. Que s’est-il passé ?
En début d’après-midi, la camionnette de tête de la CGT était devant l’église Notre-Dame-des-Champs, je m’apprêtais à faire un point presse, lorsqu’il y a eu un reflux des manifestants black blocs. La police les a «renvoyés» vers la manifestation, ce qui a créé une bousculade. Les CRS ont alors commencé à lancer des grenades. Elles ont atterri au milieu de nous et il n’y en a pas eu qu’une… Une copine, à côté de moi, a été blessée au pied. Ça arrive qu’on se trompe, mais là, non. La camionnette est quand même bien marquée, avec un gros ballon CGT. Les membres de notre service d’ordre (SO) ont tous un brassard rouge. Ils savaient qui ils avaient en face d’eux ! Les CRS ont aussi avancé vers les membres de notre service d’ordre et leur ont assené des coups de matraques. Il n’y avait personne entre eux et nous ! Le SO a gardé son sang-froid et cela s’est arrêté. On commençait à ne plus pouvoir respirer. J’ai décidé de me replier vers l’arrière de la manifestation, où sept black blocs ont essayé de nous tomber dessus.
Vous avez finalement pu manifester par la suite ?
Plus tard, j’ai retrouvé le cortège en passant par les rues parallèles. J’ai tout de même dû négocier avec la police pour rejoindre la manif. Un 1er Mai! Il a fallu l’intervention d’un gradé de la police pour calmer les esprits. J’ai alors pu démarrer la manif, mais cette dernière a, à nouveau, été bloquée, vers le boulevard Saint-Marcel. Il y avait un camion à eau manifestement tourné vers nous. On a été arrosés. A ce moment-là, aussi, il ne se passait strictement rien dans le cortège syndical, on était juste à l’arrêt. Et tout le monde savait que Martinez était là!
Les policiers ont donc ciblé sciemment la CGT, selon vous ?
Les policiers, ils font ce qu’on leur dit… Je porte en revanche des accusations claires contre le préfet et le ministre de l’Intérieur. Ce dernier explique que le but était alors de faire partir les membres du black bloc mais à ce moment-là, on était nez à nez face avec les forces de l’ordre et, là aussi, on était facilement identifiables.
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Le droit de manifester est, dites-vous, fragilisé. La faute à qui ?
Évidemment, les gens venant pour former un black bloc, c’est plus qu’un problème. Mais le ministre de l’Intérieur avait annoncé solennellement, en amont, la présence de plus de 3 000 d’entre eux, venant de l’Europe entière. Et puis finalement, jeudi, il a expliqué qu’il n’y en avait eu que 150 à 200. Christophe Castaner a créé un climat de guerre civile avant même la manifestation. Par ailleurs, il n’y a jamais eu autant de policiers mobilisés. Quand il y a de la casse, c’est forcément inacceptable, mais en retour, les arguments policiers sont aussi lourds de conséquences: il y a des blessés, il ne faut pas l’oublier. Il y avait une volonté du gouvernement, par le biais du préfet, de montrer ses muscles.
Cela veut-il dire que l’on ne peut plus manifester librement en France ?
En tout cas à Paris, mercredi, c’était difficile. Certains manifestants, avec des enfants notamment ont pu préférer ne pas venir. Mais il y a aussi des gens qui n’ont pas pu rentrer car toutes les rues étaient quadrillées. D’autres ne sont pas restés sous les lacrymos. La FSU est partie, FO aussi. Certains membres de la CGT ont aussi rebroussé chemin. Il y a quand même eu du monde mais on aurait pu être plus nombreux sans tout ça. Faire de la surenchère sur la présence de participants au black bloc et les refouler sur la manifestation au lieu d’essayer de les isoler, ça n’a pas aidé. Il y a une volonté de dire «on autorise les manifestations, mais voilà les conditions dans lesquelles vous allez manifester». Ailleurs en France, les manifestations se sont quand même bien passées.
Certains vont jusqu’à pointer un effritement de la démocratie…
Bien sûr! On l’a pointé avec force à l’occasion du vote de la loi dite «anticasseurs». Aujourd’hui, on a des camarades qui sont en garde à vue parce qu’ils avaient le visage caché à la manifestation de mercredi. Moi aussi, j’avais le visage masqué! On ne va pas respirer à pleins poumons sous un déluge de gaz lacrymogènes.
Quel regard portez-vous sur l’emballement autour de la prétendue intrusion dans l’hôpital la Pitié-Salpêtrière, à la fin de la manifestation de mercredi?
Je me souviens de 2016, en juin, quand un type a tapé avec un marteau sur les vitres de l’hôpital Necker, il y a eu aussi des réactions disproportionnées. Manuel Valls nous avait quand même accusés de complicité, sans avoir la moindre explication, alors que cela n’avait rien à voir avec la CGT. Sur la Pitié, je vois une communication bien huilée pour dire à la fois «on a bien maîtrisé les black blocs, et regardez, par ailleurs, ce qu’ils sont capables de faire».
Libération Amandine Cailhol
Un autre témoignage celui d’une élu communiste de Vitry sur Seine décrit en détail ces violences. Il explique également le contexte dans lequel des manifestants ont du trouvé refuge dans une des cours de l’hopital de la Pitié Salpétrière .
Rappelons que les violences policières si elles visent principalement le mouvement social sont dangereuse pour chaque personne. Elles frappent également ceux qui ne manifestent pas.
Hier à 14h je devais rejoindre le point fixe du PCF à l’angle du boulevard Montparnasse et rue Péguy. Arrivée sur place j’ai toute suite été gazée. Le point fixe n’a pas pu se tenir, nous avons donc avec mes camarades pris la décision de rester pour manifester. Nous ne savions pas, à ce moment-là, que le cortège de la CGT avait été également gazé par les forces de l’ordre.
Lorsque nous sommes arrivés boulevard de l’Hôpital au niveau de la Salpêtrière, j’étais avec mon Maire Jean-Claude Kennedy, Philippe Beyssi Adjoint au Maire, Safia Lamraoui Co-secrétaire nationale du mouvement de la Paix et de plusieurs dirigeants de la Fédération du Val-de-Marne.
Il n’y avait autour de nous aucun Black-Bloc, les manifestants avançaient tranquillement, c’est alors que nous avons abondement été gazés. Il y a eu un dangereux mouvement de foule, les gens asphyxiaient cherchant leur respiration. J’ai perdu mes camarades, un homme m’a alors trainée jusqu’à l’entrée de l’Hôpital pour me protéger, je ne suis pas rentrée à l’intérieur. J’ai voulu quitter la manif vers Austerlitz mais les CRS ne laissaient sortir personne.
J’ai donc repris le boulevard Saint-Marcel ou j’ai retrouvé quelques camarades. Nous avons alors appelé Pierre Bell Lloch, Conseiller départemental du Val-de-Marne, qui se trouvait derrière nous, afin de le rejoindre. Le cortège arrière étant également gazé, pris en étau et ne pouvant nous extraire de la manif, nous sommes entrés dans un immeuble du boulevard Saint-Marcel avec des dizaines et des dizaines de personnes en état de suffocation.
Nous avons alors pris conscience que l’ensemble de la manif était nassée et entièrement gazée. Nous nous somme entassés et retrouvés coincés dans une arrière-cour, les habitants nous jetaient du sérum physiologique par les fenêtres. Pierre Bell Lloch a pu nous rejoindre, la situation à l’extérieur devenait chaotique mais nous ne souhaitions par rester dans cet endroit. Pierre et Safia sont donc ressortis pour trouver une sortie possible à la manif. Ils ont été de nouveau gazés. Plusieurs minutes plus tard, Pierre ayant trouvé une sortie, nous a appelés pour nous guider jusqu’à lui.
Nous sommes sortis sur le boulevard, on n’y voyait pas à deux mètres, le sol était recouvert de verre, il y avait des blessés, les gens courraient pour fuir. Arrivés sur le point de sortie, alors que nous pensions être en relative sécurité, un groupe d’une trentaine d’hommes casqués de la BAC, matraque à la main nous a chargés sans raison, nous obligeant de nouveau à rentrer dans un jardin privé pour rejoindre une autre sortie et tenter de nous extraire définitivement de cette manifestation.
A aucun moment nous n’avons croisé de Black-Blocs ni de manifestants violents, nous avons été gazés, nassés et pourchassés par des forces de l’ordre, bras armé de Macron, déterminées à nous terroriser. J’apprends ce matin que mon camarade Jacque Leleu militant alter mondialiste avec qui j’ai fait une partie de la manif, a été arrêté à la Salpêtrière et se trouve actuellement toujours en garde à vue. Je n’ai jamais vécu une telle répression et je m’inquiète de cette grave dérive autoritaire dans mon pays. Je serai présente à la manifestation du 9 mai parce que personne ne m’empêchera de manifester pour la justice sociale, la démocratie, la paix et défendre, avec mes camarades, nos intérêts de classe.
Fabienne LEFEBVRE
Conseillère municipale et territoriale de Vitry-sur-Seine
Membre du Comité Exécutif National du PCF
http://lepcf.fr/Manifestation-du-1er-mai-temoignage-Hier-a
L’agent de la CIA et du Mossad, hypermacronienne, Emilie Aubry nie les violences policières et Of course le lien avec les fics nazis et les Black Block. Elle nie aussi comme le nazi Castaner et les flics nazis le fait que les flics nazis aient gazés et couvert de LBD la CGT et FSU, sans même arrêter un seul Black Block, qui sont des flics en civil déguisés. Idem pour l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière l’agent de la CIA et du Mossad, Emilie Aubry reprend les mensonges de Castaner. Le comble étant atteint avec l’anticommuniste Bertrand Badie qui hait les Gilets parce qu’ils rejoignent la CGT et les communistes (c’est très bon signe pour le mouvement des Gilets jaunes et les communistes).
Le pouvoir et ses médias ont peur du peuple et lâche son fiel.
Quant au Venezuela, les cloportes macroniens, y compris le pauvre et décevant Bertrand Badie, ont fait la claque à Gaido et ont tapé à bras raccourcis sur Maduro, la Russie, la Chine communiste et Cuba, CIA et Mossad obligent.
LES MEDIAS HYPERMACRONIENS (90% DES MEDIAS EN France) ONT PEUR DE LA JONCTION ENTRE GILETS JAUNES ET CGT-PCF ET CELA SE VOIT SUR France CULTURE RADIO COMPLETEMENT TENUE PAR LA CIA ET LE MOSSAD, Y COMPRIS A LA DROITE DELA CGT ET DU PCF QUI ONT PEUR D’UNE REVOLUTION.
L’agent de la CIA et du Mossad, hypermacronienne, Emilie Aubry nie dans son émission hebdo hypermacronienne ultralibérale et hyperatlantiste sur France Culture, les violences policières et Of course le lien avec les fics nazis et les Black Block. Elle nie aussi comme le nazi Castaner et les flics nazis le fait que les flics nazis aient gazés et couvert de LBD la CGT et FSU, sans même arrêter un seul Black Block, qui sont des flics en civil déguisés. Idem pour l’hôpital de La Pitié-Salpêtrière l’agent de la CIA et du Mossad, Emilie Aubry reprend les mensonges de Castaner. Le comble étant atteint avec l’anticommuniste Bertrand Badie qui hait les Gilets Jaunes parce qu’ils rejoignent la CGT et les communistes (c’est très bon signe pour le mouvement des Gilets jaunes et les communistes).
Le pouvoir et ses médias ont peur du peuple et lâche son fiel.
Quant au Venezuela, les cloportes macroniens, y compris le pauvre et décevant Bertrand Badie, ont fait la claque à Gaido et ont tapé à bras raccourcis sur Maduro, la Russie, la Chine communiste et Cuba, CIA et Mossad obligent.
Idem avec l’agent de la CIA et du Mossad Marc Weitzmann qui dans son émission hebdomadaire Signe des temps, tente désespérément de tuer les Gilets Jaunes et le Pamphlet anti-Macron « Crépuscule » de Juan Branco qui cartonne dans toutes les librairies. France Culture est effectivement une radio nazie comme Macron et ses flics.