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Accueil articles 3-INTERNATIONAL

Le danger nucléaire de l’Axe impérialiste hégémonique : l’escalade atomique de l’USA, de l’OTAN et de l’UE avec Trump, Macron

1 novembre 2025
Temps de lecture12 mins de lecture
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À l’heure où les Etats Unis en particulier, l’OTAN de manière générale et la France en son sein, réinvestissent massivement dans l’arsenal nucléaire, l’Humanité se trouve de nouveau au bord d’un gouffre stratégique. Le retour assumé aux essais nucléaires, aux menaces atomiques et à la “parité” militaire ouvre la voie à une instabilité plus dangereuse encore que celle de la Guerre froide. La course aux armements, loin d’assurer la sécurité, fait planer l’ombre d’une confrontation nucléaire qui pourrait anéantir toute civilisation. Il faut comprendre les raisons stratégiques de l’annonce de Trump de rétablir les essais nucléaires, raison qui font écho à la résistance de la Russie qui a développé de nouveaux vecteurs de dissuasion pour déjouer l’agressive doctrine US de la première frappe nucléaire. Défense aérienne, missiles et torpilles de riposte déjouant le bouclier antimissile déployé en Europe et en Corée. Les doctrines russes et chinoises demeurent complètement celles de la dissuasion sanctuarisant leurs territoires. A l’inverse, Macron met à bas tant la protection de la France que le principe de la dissuasion, en commandant la couteuse extension de l’arsenal nucléaire dont il veut qu’il soit européen. Un préparatif évident pour faire régner le flou sur le déploiement, avec les avions rafales déployés par l’OTAN sur le front de l’Est, de ses nouvelles bombes atomiques. Avec le risque évident de transformer la France en paratonnerre attirant les premières foudres nucléaires de la confrontation militaire frontale, dans une guerre ouverte et de haute intensité désormais publiquement revendiquée par l’OTAN et ses états majors avec la Russie

A lire :

  • Ennemi principal et maillon faible. par Georges Gastaud
  • Gravité et esprit de responsabilité – [Études et prospectives ]
  • Pour la paix : lettre aux députés

Les deux textes qui suivent analysent ce basculement historique : d’un côté, l’escalade américaine et la militarisation globale ; de l’autre, l’effondrement d’un cadre juridique et politique qui promettait le désarmement. Ensemble, ils rappellent l’urgence d’une vigilance collective et d’un engagement pour la paix.

LA POLITIQUE DES CANONNIÈRES NUCLÉAIRES

Manlio Dinucci – Quelques minutes avant la rencontre avec Xi Jinping, Trump a déclaré avoir ordonné au Pentagone de lancer des tests sur les armes nucléaires ”sur base paritaire” avec la Chine et la Russie. En réalité la Chine n’a plus testé d’armes nucléaires depuis 1996 et la Russie ne les a plus testées depuis 1990.

Le président des États-unis Donald Trump a présenté l’accord avec le président de la Chine Xi Jinping comme un grand succès. Les États-Unis réduiront de 10% de pourcentage la taxe sur les produits chinois importants en la portant à 47%. En échange la Chine reprendra l’achat de soja étasunien et renverra d’une année les restrictions sur l’exportation aux USA de minéraux des terres rares. Il s’agit en réalité d’une limitée et précaire trêve commerciale.

   Significatif est ce qu’a déclaré le ministre des Affaires Étrangères chinois Wang Yi avant la rencontre de Xi Jinping et Donald Trump. Wang Yi a prévenu qu’ “un monde multipolaire est en train d’arriver”, exhortant à “mettre fin à la politisation des questions économiques et commerciales, à la fragmentation artificielle des marchés mondiaux et au recours à des guerres commerciales et batailles tarifaires”. “Le fréquent retrait des accords et le respect manqué des engagements, alors que se forment avec enthousiasme blocs et cliques, a soumis le multilatéralisme à des défis sans précédents”, a affirmé Wang, sans nommer de pays spécifiques mais en se référant clairement aux États-Unis.

     Dans la rencontre le président Xi Jinping a souligné : “La Chine et les États-Unis devraient être partenaires et amis. C’est ce que nous a enseigné l’Histoire et ce dont la réalité a besoin”. La position des États-Unis est démontrée par le fait que, quelques minutes avant la rencontre avec Xi Jinping, Trump a déclaré avoir ordonné au Pentagone de lancer des tests sur les armes nucléaires ”sur base paritaire” avec la Chine et la Russie. En réalité la Chine n’a plus testé d’armes nucléaires depuis 1996 et la Russie ne les a plus testées depuis 1990. Et bien que les États-Unis n’aient jamais ratifié le Traité sur la mise au ban totale des armes nucléaires, qui interdit la détonation de ces armes, les présidents du passé s’en sont tenus au Traité.

     Sur Truth Social, Trump a affirmé que Pékin est actuellement au troisième poste pour le nombre d’armes nucléaires par rapport à Russie et États-Unis, mais que “d’ici cinq ans il sera à parité avec nous”. Trump ne dit pas que la Chine a gardé pendant des décennies un arsenal nucléaire limité, formé en majeure partie d’armes défensives à moyenne portée ne pouvant pas atteindre les États-Unis, et qu’elle a entrepris la production d’armes nucléaires à longue portée après que les États-Unis ont de façon menaçante déployé des armes nucléaires au bord de son territoire.

     En même temps Trump a donné le feu vert à la Corée du Sud pour la construction d’un sous-marin à propulsion nucléaire, qui pourra être armé de missiles nucléaires. Le sous-marin sera construit aux États-Unis dans un chantier naval acheté par une société sud-coréenne en 2024. L’Australie aussi, à travers l’accord AUKUS avec les États-Unis et la Grande-Bretagne, pourra se doter de sous-marins d’attaque nucléaire clairement dirigés contre la Chine et la Russie. En Europe l’Ukraine est en train de recevoir, par l’intermédiaire de l’OTAN sous commandement USA, des armes avec une portée de plus en plus grande en mesure de frapper des objectifs en profondeur dans le territoire russe. Dans peu de temps des armes de ce type pourront être fabriquées directement en Ukraine à travers des accords de “production conjointe” avec des industries guerrières de l’OTAN. L’Ukraine pourra ainsi avoir des armes à double capacité conventionnelle et nucléaire dirigées contre la Russie.
    Il ne faut pas s’étonner que, dans une telle situation, la Russie soit en train de produire et tester des vecteurs nucléaires de nouvelle conception : le missile de croisière à propulsion nucléaire Burevestnik, capable de frapper des objectifs hautement protégés à n’importe quelle distance, et le véhicule sous-marin à propulsion nucléaire Poseidon, capable d’atteindre de façon autonome les côtes ennemies et de provoquer un tsunami radioactif avec l’explosion sous-marine d’une tête nucléaire de grande puissance. Une arme analogue au Poseidon russe est probablement en train d’être produite aussi par la Chine.  

Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 31 octobre 2025 sur la chaîne TV italienne Byoblu

https://www.byoblu.com/2025/10/31/la-politica-delle-cannoniere-nucleari-grandangolo-pangea


Sur les ruines d’un mausolée nucléaire, la nouvelle instabilité

Donald Trump a évoqué cette semaine à Séoul la reprise d’essais nucléaires américains. Il évoquait probablement les essais de vecteurs, comme nous l’avons précisé à Public Sénat le 30 octobre (ici). Mais la question des essais s’inscrit dans une perspective plus large, retracée ci-dessous par Thibault Lamidel. Merci à lui; LV

Le mausolée nucléaire est l’édifice politico-militaro-juridique (1992 – 2025 dans le cas français) établi au lendemain de la cession des essais nucléaires. C’était l’idée de la fin de la mise à l’étude d’armes nucléaires, toujours plus optimisées que les précédentes. Une certaine stabilité nucléaire paraissait devoir se déployer.

Selon un phénomène lié, les arsenaux avaient vocation à se réduire sans cesse. Étions-nous engagés dans la poursuite « de bonne foi des négociations sur des mesures efficaces relatives à la cessation de la course aux armements nucléaires à une date rapprochée et au désarmement nucléaire, et sur un traité de désarmement général et complet sous un contrôle international strict et efficace », comme le dispose l’article 6 du Traité de Non-Prolifération (TNP) ?

Ce mausolée pourrait s’être écroulé. La République populaire de Chine n’offrait pas la moindre pierre à sa construction. Les décisions britanniques (16 mars 2021) et françaises (18 mars 2025) semblent définitivement saper ses fondations. Jusqu’à une « prochaine « reprise des essais nucléaires ?

Une quatrième base aérienne à vocation nucléaire française

 Le 18 mars 2025, Emmanuel MACRON, président de la République ouvrait la porte à une des très rares ruptures militaires françaises depuis 1945 : une augmentation de l’arsenal nucléaire français. C’est le sens pouvant être donné à la décision de créer une quatrième Base Aérienne à Vocation Nucléaire (BAVN) à Luxeuil, tournée vers l’Est de l’Europe et donc le front de l’Alliance atlantique. Par l’interview[1] accordée au Frankfurter Allgemeine Zeitung, le président insiste à nouveau sur le renforcement de la composante aéroportée, à l’occasion du programme ASN-4G (Air-Sol Nucléaire de 4ième Génération) et devant entraîner logiquement une cible plus haute de sa charge « spéciale » (TNA 2).

Suspension des essais

Au terme d’une séquence politico-stratégique initiée par les deux « Grands » dans le courant des années 1980, l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) s’engageait, selon la déclaration du 05 octobre 1991 de Mikhaïl GORBATCHEV, Secrétaire général du Comité central du Parti communiste de l’Union soviétique, dans un moratoire unilatérale suspendant les essais nucléaires.

Le 02 octobre 1992, soit trois jours avant l’expiration du moratoire soviétique, George H. W. Bush, 43ième Président des États-Unis d’Amérique, signait la Fiscal Year 1993 contenant l’amendement Hatfield-Exon-Mitchell. Celui-ci dispose que « no underground test of nuclear weapons may be conducted by the United States after September 30, 1996, unless a foreign state conducts a nuclear test after this date, at which time the prohibition on United States nuclear testing is lifted. »

Le 08 avril 1992, François Mitterrand,alors Président de la République, décidait de l’établissement d’un moratoire sur les essais nucléaires français. Le dernier datait du 15 juillet 1991. Et le programme Simulation fut lancé – brillamment et avec grand succès – en catastrophe.

Le Traité d’Interdiction Complète des Essais (TICE) Nucléaires (TICEN) ou en Anglais Comprehensive Nuclear-Test-Ban Treaty (CTBT) était adopté, le 10 septembre 1996 et ouvert à la signature le 24 septembre 1996. Il n’a toujours pas reçu le nombre nécessaire d’instruments à sa ratification : seules 36 reçues à ce jour, sur les 44 nécessaires.

Le mausolée nucléaire français

Nous trouvons pourtant dans cette période (1991-1996) la 1ère pierre du mausolée nucléaire français car c’est à partir de cette rupture historique qu’est abandonné l’idée de supériorité nucléaire : les essais servaient, outre aux sujets de sécurité et de sûreté nucléaires, à « optimiser » les armes nucléaires et donc à suivre la courbe de leur modernisation, accroissant d’autant leur efficacité militaire. En ce sens, la dernière campagne (13 juin 1995 – 29 janvier 1996) brisait, certes, le moratoire français mais ne servait qu’à achever la conception de la TN 75 et les travaux sur les charges robustes (les futures TNO et TNA). La TN 100 était bel et bien abandonnée en faveur de la future TNO. En ce sens, il s’agissait d’une épreuve anachronique devant achever le programme Simulation et non pas d’une rupture politique d’avec les positions diplomatiques des autres puissances nucléaires.

La décision de mars 2025

Emmanuel Macron révélerait qu’il a décidé d’une augmentation franche de l’arsenal nucléaire français (18 mars 2025), pour des considérations stratégiques relativement différentes de celles du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord (16 mars 2021).

Après l’allocution prononcée devant la House of Commons par le Prime minister, M. Boris Johnson, le 16 mars 2021, a été publié Global Britain in a Competitive Age:the Integrated Review of Security, Defence, Development and Foreign Policy (2021, 114 pages). Au terme de nombreuses justifications, Londres déclare vouloir revenir sur la décision, entérinée par la 2010 Strategic Defence and Security Review, de réduire l’arsenal à 180 têtes nucléaires dont 120 déployées. « UK will move to an overall nuclear weapon stockpile of no more than 260 warheads » (p. 76).

Le Royaume-Uni est la première puissance nucléaire du Traité sur la Non-Prolifération des armes nucléaires (TNP) a augmenter – officiellement – le nombre de têtes nucléaires. C’est une rupture historique, fondée sur des considérations de crédibilité stratégique : la salve par Sous-marin Nucléaire Lanceur d’Engins (SNLE), soit 40 têtes, représentait, environ, la moitié de celle des SNLE américains et français.

Dissuasion élargie ?

La rupture française recèle un sens stratégique différent car, et comme vient de l’exposer, une deuxième fois déjà, le Président de la République : il s’agit d’abonder le volume du nombre de têtes, de vecteurs et de plateformes afin de matérialiser une dissuasion élargie, déployée au sein des sphères de l’Union européenne et fatalement de l’Alliance atlantique. C’est l’idée que la stricte suffisance suppose un volume de feu désormais supérieur, pour différentes raisons militaires qui touchent à la crédibilité d’une dissuasion élargie, en raisons de compréhensions européennes bien différentes de celles françaises quant à la crédibilité du feu nucléaire de Paris.

Pourquoi donc s’aventurer à prophétiser une reprise des essais, une idée paraissant de prime abord saugrenue à n’importe quel esprit formé à ces questions ? C’est en réalité contre-intuitif.

Il existe une divergence franco-américaine à ce sujet car Paris défendait l’équivalent d’une option « zéro ». Les États-Unis d’Amérique ne s’interdisaient pas une reprise des essais sous-critiques : faire détoner un dispostif jusqu’à l’amorce chimique mais sans une « amorce » contenant des matières fissiles. Le 34ème essai sous-critique fut conduit par les États-Unis le 16 mai 2024. En élargissant la focale, il y a eu des menaces de reprise d’essais nucléaires depuis l’invasion de l’Ukraine par la Fédéraiton de Russie (24 février 2022). Outre les protestations, l’Inde se disait prête à suivre. Et dans cette perspective : l’amendement Hatfield-Exon-Mitchell disposait bel et bien que « no underground test of nuclear weapons may be conducted by the United States after September 30, 1996, unless a foreign state conducts a nuclear test after this date, at which time the prohibition on United States nuclear testing is lifted. »

Qu’est-ce qu’un essai nucléaire ?

La remise en mouvement des arsenaux nucléaires amènera fatalement le sujet de la reprise des essais nucléaires :

–       soit car certains auront un trop grand retard à rattraper par rapport à l’état de l’art ;

–       soit car la pression stratégique les invitera à considérer de nouveaux vecteurs dont la crédibilité reposera sur une nouvelle optimisation des têtes ;

–       soit, et c’est plus pernicieux : les enjeux de la crédibilité, du point de vue de la certitude de la frappe et donc de la pression induite par les nouveaux systèmes d’interception (et pas seulement ABM), pourraient lourdement inviter à optimiser les têtes, afin de dégager des marges de manœuvre aux vecteurs en termes d’allonge et de manœuvrabilité. Une tête plus légère, ce sont des économies d’échelle sur toute la cinématique.

Alors, dans cette perspective : est-ce qu’une reprise des essais nucléaires, avec explosion selon la mécanique de la fission, voire de la fusion, vous paraît-elle désormais toujours aussi saugrenue ?

Thibualt Lamidel


[1] Von Michaela WIEGEL, « Emmanuel Macron im F.A.Z.-Interview: Russische Geheimarmee in Europa », Frankfurter Allgemeine Zeitung, 1ier octobre 2025, URL : https://www.faz.net/aktuell/politik/ukraine/emmanuel-macron-im-f-a-z-interview-russische-geheimarmee-in-europa-110712343.html, Consulté le : 02 octobre 2025.

Tags: 3e guerre mondialearme atomiquearme nucléairebombe atomiqueexterminismeTrump
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