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Comment les USA utilisent leur trafic de drogue pour attaquer le Venezuela.

17 septembre 2025
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Les principaux secteurs de productions des drogues illicites et les principales routes de la drogue arrivant aux Etats Unis d’Amérique mettent largement à l’écart de la Venezuela bolivarien de Chavez et Maduro. C’est ce que démontrait déjà une enquête de Philippe Rekacewicz en 2013 dans les colonnes très documentées du Monde Diplomatique. C’est toujours une réalité indéniable. C’est pourtant sous cette accusation aussi bidon que dangereuse que Trump a décidé de s’en prendre au peuple vénézuélien. Dans le but explicite, mais qu’il ne veut porter directement en place publique, de s’emparer des réserves pétrolières considérable des régions de l’Orénoque, nationalisées par Chavez, Maduro et la révolution bolivarienne. Le gouvernement Trump a accusé le gouvernement vénézuélien de faciliter jusqu’à 250 tonnes de cocaïne par an via le « Cartel des Soleils », mais il s’agit d’une communication de propagande affichant des chiffres extravagant qui ne sont pas corroboré par les saisies effectives. Elles ne visent qu’à justifier de la mise à prix de la tête de Nicolas Maduro portée à 50 millions de dollars par Donald Trump. Les forces progressistes du Venezuela, Parti communiste du Venezuela (PCV) comme PSUV alertent conjointement sur le prétexte utilisé pour renverser le pouvoir démocratiquement élu à Caracas. Ce point a été expliqué en détail au meeting international organisé par le PRCF à la fête de l’Humanité 2025, avec la participation de représentant de haut niveau du PSUV et du PCV.

Bas les pattes du Venezuela : conclusion du meeting international présidé par Fadi Kassem (PRCF) à la fête de l’Humanité 2025 en présence de délégation de Cuba socialiste, et de délégation du PCV et du PSUV, ainsi que de la plateforme anti impérialiste mondiale

Les récentes opérations militaires conduites contre le Venezuela au motif de l’interception de flux de drogues n’ont conduit à aucune saisie. Elles ont été le prétexte à l’armée américaine a violer la souveraineté du Venezuela :

  • septembre 2025 : Frappes américaines sur un bateau en provenance du Venezuela dans les eaux du sud de la Caraïbe, tuant 11 présumés trafiquants de Tren de Aragua. Le président Trump a affirmé que le bateau transportait « beaucoup de drogue » (cocaïne et fentanyl), mais aucun tonnage précis n’a été divulgué publiquement par la Maison Blanche ou le Pentagone. Aucune image de drogue saisie, aucun éléments probants n’a été diffusé
  • 5 septembre 2025 : Deuxième frappe américaine sur un bateau similaire, tuant 3 personnes. Trump a cité des preuves visuelles de cocaïne et fentanyl à bord, mais à nouveau, pas de chiffre en tonnage.
  • Aucune saisie majeure consolidée n’est mentionnée dans le NDTA 2025 pour le Venezuela spécifiquement.
  • Les autorités vénézuéliennes (ONA/SUNAD) rapportent elles des saisies internes régulières : Pour 2024, plus de 80 % des saisies (environ 20-30 tonnes estimées, basées sur des tendances passées) ont eu lieu à la frontière avec la Colombie. Des quantités démontrant une surveillance de la frontière par le gouvernement de Nicolas Maduro. Avec une efficacité forte si on compare au près de 4000 tonnes exportées annuellement par les cartels colombiens.

D’après les propres informations publiés par les agences de l’administration américaine ainsi que par les institutions des nations unies, les drogues illicites les plus consommées aux États-Unis incluent principalement le fentanyl, la méthamphétamine, la cocaïne et l’héroïne, selon les rapports officiels comme le National Drug Threat Assessment (NDTA) de la DEA et le World Drug Report (WDR) de l’ONUDC. La production de ces drogues est concentrées dans les mains de quelques organisations criminelles multinationales, qui exercent dans certains pays. L’administration américaine liste ainsi officiellement 22 pays livrant de la drogue sur le marché américain, parmi eux :

  • la Colombie, principal producteur de la cocaïne (253 000 ha de culture de coca en 2020 et 3700 tonnes exportés), une production issue des narcotrafic qui ont prospéré de façon exponentielle sous les régimes d’ultra droite soutenus par Washington. Les organisations criminelles exploitant la cocaines colombiennent généreraient près de 3 milliards d’euros de flux financiers. 84 % des saisies de cocaïne aux États-Unis proviennent de Colombie. Le rapport NDTA 2025 de la DEA montre que les saisies de cocaïne aux US se concentrent principalement sur la frontière mexicaine (Californie), avec une mention marginale du Venezuela en lien avec des groupes comme Tren de Aragua (TdA). Le rapport INCSR 2025 (publié en mars, couvrant 2024) indique que le Venezuela représente moins de 2 % des saisies de cocaïne en Amérique latine, classé 6e dans la région, loin derrière la Colombie (37 %), l’Équateur (8,8 %) et le Panama (4,2 %).
  • Le Mexique et le Canada pour la production de Fentanyl et de Méthamphétamine. Il s’agit des cartels de Sinaloa, Jalisco, Michaiacan. Les USA proclamment que 90% du fentanlyl et de la méthanphétamine aux US proviennent du Mexique. Les flux financiers de la drogue au Mexique sont évalués à 11 milliards d’euro par le gouvernement américain. Le Fentanyl provoque 75 000 décès par an aux USA. Le Canada serait un fournisseur secondaire, également un pays de transit pour le canabis illicite.

Le Venezuela n’a pas de culture significative de coca ni de laboratoires majeurs pour les drogues synthétiques comme le fentanyl ou la méthamphétamine, qui sont principalement produits au Mexique et, dans une moindre mesure, au Canada ou en Asie.

Les pays identifiés comme routes de transit majeur par la DEA, agence de lutte contre la drogue de Washington, sont le Costa Rica, République Dominicaine, Équateur, El Salvador, Guatemala, Honduras, Panama.

Avec près de 16% de la population américaine consommateur de drogue, le marché des drogues aux USA est estimé entre 200 et 750 milliards de dollars en 2025, générant 215 milliards de dollars annuels de profits.

Le Venezuela ne fait pas partie ni des pays producteurs, ni des routes d’exportations de la drogue. Les routes principales convergent vers la frontière sud-ouest (Southwest Border, SWB) avec le Mexique, qui représente plus de 90 % des saisies en 2024 (ex. : 14 069 kg de fentanyl, 79 070 kg de méthamphétamine). Voici les voies clés identifiées selons les documents de l’administration américaine : Terrestre via la frontière mexicaine : Principale pour fentanyl, méthamphétamine, héroïne et cocaïne. Ports d’entrée en Californie, Arizona et Texas (ex. : saisies massives à San Diego et Nogales). Distribution interne via les autoroutes inter-États (ex. : I-10, I-15, I-35), avec 2 300 kg de fentanyl saisis sur ces routes en 2024. Maritime et aérien depuis l’Amérique du Sud : Cocaïne de Colombie, Pérou et Bolivie transite via l’Équateur, le Costa Rica, la République Dominicaine ou les Caraïbes (ex. : Bahamas, Haïti), puis via le Mexique ou directement vers les ports US (ex. : Floride, Porto Rico). Saisies maritimes de 84 MT en Équateur en 2024. Frontière nord avec le Canada : Émergente pour fentanyl et cannabis, avec des « super labs » canadiens ; 9 354 kg de fentanyl saisis à la frontière sud vs. 22,7 kg au nord en 2024.

Dans une enquête détaillée, reproduite ci dessous, Vijay Prashad démontre comment les États-Unis fabriquent un trafic de drogue pour justifier une éventuelle attaque contre le Venezuela, par Vijay Prashad

JBC pour www.initiative-communiste.fr


Soudainement, sans crier gare, les agences gouvernementales étasuniennes ont commencé à répéter le nom « Tren de Aragua » comme s’il s’agissait du nouvel Al-Qaïda. En janvier 2025, la Maison Blanche a désigné le « Tren de Aragua » comme une « organisation terroriste étrangère » et, en mars, l’administration du président états-unien Donald Trump a invoqué l’Alien Enemies Act (1789) pour mettre en garde contre « l’invasion des États-Unis par le Tren de Aragua ». En février 2025, le département d’État américain avait déclaré que Tren de Aragua était un cartel international de la drogue au même titre que des cartels déjà reconnus tels que les Las Zetas mexicains (aujourd’hui Cártel del Noreste), Sinaloa et Jalisco, ainsi que le Mara Salvatrucha (MS-13), formé à Los Angeles (États-Unis) et désormais implanté au Salvador grâce à une politique d’expulsion menée depuis une décennie par les États-Unis. Contrairement au Tren de Aragua, ces autres cartels sont bien connus et leurs activités ont été fréquemment documentées par la Drug Enforcement Agency (DEA) états-uniennne.

Le dernier rapport de la DEA pour 2025 confirme plusieurs faits concernant les cartels de la drogue qui font passer d’énormes quantités de stupéfiants (de la cocaïne au fentanyl) aux États-Unis. Il comporte bien sûr de longues sections sur les gangs mexicains et salvadoriens, qui sont profondément enracinés dans le trafic de drogue. Depuis 2019, la DEA et d’autres agences ont suivi le trafic de drogues mortelles depuis les Caraïbes et l’Amérique centrale jusqu’à la route de l’océan Pacifique. Les drogues quittent les ports de Guayaquil (Pérou), Esmeraldas (Équateur) et Buenaventura (Colombie) pour les ports tels que Puerto Escondido (Mexique) avant d’être acheminés vers le marché états-unien. Plus de 80 % des drogues mortelles transitent par cette côte pacifique selon le Rapport mondial sur les drogues 2025 des Nations Unies, tandis que seulement un peu plus de 10 % traversent la mer des Caraïbes. Depuis très longtemps, la DEA estime à juste titre que la plupart des drogues entrant aux États-Unis proviennent des Andes, de Colombie, d’Amérique centrale et du Mexique, et non du Venezuela.

Quel est alors le rapport avec le « Tren de Aragua », puisqu’il s’agit d’un gang créé à l’intérieur de la prison de Tocorón, dans le centre du Venezuela (à environ 150 kilomètres de Caracas) ? Ce gang a été créé en 2012 par Héctor Rushtenford « Niño » Guerrero Flores (un criminel condamné qui s’est évadé de prison en 2023 et n’a pas été revu depuis). Le gang de el « Niño » Guerrero, le « Tren de Aragua », est accusé d’avoir profité de la migration hors du Venezuela pour établir son réseau aux États-Unis et ailleurs en Amérique latine et pour étendre ses activités de trafic grâce à ce réseau migratoire. Cependant, il est plus que probable que le réseau actuel n’existe pas, mais que d’anciens membres du Tren de Aragua se soient regroupés pour mener des activités criminelles dans différents endroits. Guerrero est recherché au Venezuela et fait l’objet d’une alerte migratoire au Chili, où il se serait réfugié parmi le demi-million de Vénézuéliens présents dans ce pays du cône sud. Le gouvernement états-unien a pris pour cible le Tren de Aragua et Guerrero, offrant une récompense de 12 millions de dollars pour son arrestation. Mais Guerrero reste introuvable.

Un cartel fabriqué de toutes pièces

Comment le gouvernement étatsunien passe-t-il d’une préoccupation légitime concernant l’entrée de drogues dans son pays à l’envoi de sept navires de guerre et d’un sous-marin nucléaire pour encercler le Venezuela dans le cadre d’une « opération antidrogue renforcée » ? Comment ces navires de guerre, qui se trouvent juste à l’extérieur des limites maritimes vénézuéliennes, vont-ils pouvoir arrêter Guerrero, mettre fin au Tren de Aragua ou empêcher les cartels de transporter de la drogue vers les États-Unis ? Guerrero ne se trouve très probablement pas au Venezuela, son gang opère dans toute l’Amérique latine et aux États-Unis, et la plupart des drogues sont transportées par l’océan Pacifique et non par la mer des Caraïbes. Alors, que font ces navires de guerre au large des côtes vénézuéliennes, même si les États-Unis affirment qu’ils sont en « mission anti-cartel » ?

En avril 2025, les États-Unis ont augmenté la récompense offerte pour l’arrestation du président vénézuélien Nicolás Maduro Moros, la faisant passer de 25 à 50 millions de dollars. La raison invoquée pour cette augmentation est que les États-Unis accusent Maduro d’être le chef du Cartel des Soleils (Cartel de los Soles). Le terme « Cartel des Soleils » a été utilisé pour la première fois en 1993 pour décrire les activités de certains officiers supérieurs de l’armée et responsables de la lutte antidrogue dans le trafic de stupéfiants. C’était bien avant l’arrivée d’Hugo Chávez au palais présidentiel en 1999. Ce terme a été utilisé en raison du symbole solaire figurant sur les uniformes des officiers supérieurs de l’armée vénézuélienne.

Il n’y avait pas réellement de cartel. Après la mort du président vénézuélien Hugo Chávez en 2013, plusieurs journalistes vénézuéliens en exil ont écrit des livres reprenant l’observation de Marcano sur les « soleils », mais affirmant désormais qu’il existait un cartel organisé et pas seulement quelques officiers corrompus. Parmi ces livres, les plus importants sont Chavismo, Narcotráfico y Militares (2014) d’Héctor Landaeta et Bumerán Chávez: Los fraudes que llevaron al colapso de Venezuela (2015) d’Emili J. Blasco. Mais Landaeta a déclaré au Miami Herald en 2015 que « le Cartel de los Soles est davantage un phénomène qu’un groupe organisé ». Néanmoins, en juillet 2025, le département du Trésor états-unien a désigné le groupe comme « terroriste mondial spécialement désigné ». Entre l’aveu de Landaesta en 2015 et aujourd’hui, les documents publics des États-Unis ont pratiquement passé sous silence ce « Cartel de los Soles », qui est une invention (déjà, en 2020, Trump a utilisé une fausse accusation de trafic de drogue contre Maduro). Il n’y a aucune indication d’un lien entre ce « cartel » et le Tren de Aragua, qui est lui-même un terme vague qui n’a rien à voir avec les grands cartels colombiens et mexicains qui ont des lignes d’organisation verticales.

Le renforcement massif des forces militaires états-uniennes face au littoral vénézuélien, l’augmentation de la récompense offerte pour l’arrestation de Maduro et l’accusation selon laquelle le gouvernement vénézuélien serait lié au « Tren de Aragua » constituent les fondements d’une intervention militaire classique contre le Venezuela au nom de la guerre contre la drogue. L’idée du Cartel de los Soles fonctionne comme celle des armes de destruction massive en Irak en 2002-2003, l’administration états-unienne cherchant désespérément un casus belli qui, autrement, n’existerait tout simplement pas.

Vijay Prashad

Cet article a été rédigé par Globetrotter. Traduction: Thierry Deronne https://venezuelainfos.wordpress.com/2025/09/12/comment-les-etats-unis-fabriquent-un-trafic-de-drogue-pour-justifier-une-eventuelle-attaque-contre-le-venezuela-par-vijay-prashad/

Tags: Colombieguerreimpérialisme américaininternationalNicolas MADUROtrafic de drogueUSAVenezuelaVijay Prashad
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