
10 SEPTEMBRE : L’ARGENT POUR LE PEUPLE ET LES SALAIRES, PAS POUR LA GUERRE !
Ensemble à l’action pour la paix, le progrès social, la démocratie et l’indépendance nationale!
Des millions d’ouvriers, d’employés, de petits et moyens fonctionnaires, de petits paysans, commerçants et artisans, n’arrivent plus à joindre les deux bouts…
Notre industrie et l’ensemble du « produire en France » sont sacrifiés à la « concurrence libre et non faussée » de l’Union européenne…
Nos services publics, de l’hôpital à la SNCF en passant par l’Éducation nationale, la Poste ou encore EDF sont pillés au nom de l’austérité dictée par l’UE et de la dette qui enrichit les usuriers du Capital…
Macron et le MEDEF s’acharnent à détruire les conquêtes sociales, démocratiques et nationales de la Libération : retraites solidaires, statuts collectifs, Droit du travail, Sécurité sociale… Pour eux, tout doit disparaître ! Même notre langue française, commune à tous les travailleurs de France et à de nombreux migrants francophones, est menacée par le tout-anglais grand-bourgeois du monde des affaires capitalistes qu’adoptent Macron et ses gouvernements successifs !
Et le gouvernement Bayrou prépare pour 2026 une nouvelle saignée budgétaire, allant jusqu’à supprimer deux jours fériés, afin de financer son économie de guerre qui entraîne la France vers une confrontation nucléaire avec la Russie.
Voilà l’avenir que nous promet la Macronie : faire mourir nos jeunes « pour la patrie » en Ukraine et en même temps dissoudre notre pays dans l’Europe du Capital sous domination allemande et dans l’alliance atlantique dirigée par l’impérialisme états-unien.
Notre pays est mis en danger de mort par la politique capitaliste qui broie la France et ses acquis sociaux pour l’insérer dans un nouvel « empire européen » que Macron nomme bien poliment « Etat fédéral européen ». Et il se moque de nous avec ses projets flous de référendums sur des sujets plutôt secondaires, lui qui, comme Hollande, Bayrou, Sarkozy ou encore Retailleau, a violé le NON catégorique des Français à la Constitution européenne suite au référendum victorieux pour le peuple du 29 mai 2005 !
Face à cette casse organisée du pays, qui peut s’achever en tragédie mondiale, deux attitudes opposées sont possibles pour ceux qui se réclament du camp du Travail, du Progrès, de la démocratie, de la liberté et de la Paix :
Celle des dirigeants politiques et syndicaux pro-Europe, qui accompagnent la casse sociale en cautionnant les conclaves et les dialogues stériles avec le pouvoir. Ils refusent d’affronter l’UE, l’OTAN et Macron. En agissant ainsi ils ouvrent un boulevard à l’extrême droite qui n’est pas moins partisane de l’UE, de l’OTAN et du capitalisme !