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Accueil articles 3-INTERNATIONAL

Blocus de Cuba: le crime condamné à l’ONU, tandis que les complices des USA s’affichent (Israel, Ukraine, Argentine…)

31 octobre 2025
Temps de lecture13 mins de lecture
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https://twitter.com/EmbaCubaFrancia/status/1983566439245033531

Le 29 octobre 2025, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté, pour la 33e année consécutive, la résolution intitulée « Nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les États-Unis d’Amérique contre Cuba » (projet L.6). Ce texte a recueilli 165 voix en faveur, 7 contre (États-Unis, Israël, Ukraine, Argentine, Hongrie, Macédoine du Nord et Paraguay) et 12 abstentions.

Adoptée dans un contexte de tensions géopolitiques accrues, notamment liées aux allégations totalement mensongère américaines sur l’implication de Cuba en Ukraine, la résolution condamne le blocus comme une violation du droit international et appelle à sa levée immédiate. Ce blocus a encore été renforcé avec le retour de Trump au pouvoir, dont l’administration ne manque pas de dire qu’elle veut s’emparer du pouvoir à la Havane.

Le vote est intervenu également alors que l’ouragan Melissa, le plus fort enregistré depuis un siècle dévastait Cuba. Washington a maintenu les sanctions qui empêchent l’approvisionnement de l’aide humanitaire, et va sérieusement entraver les opérations de reconstructions. A l’inverse, la Chine a envoyé des kits de secours, tandis le Venezuela comme la Colombie ont immédiatement envoyés en dépit des sanctions américaines respectivement 46 tonnes d’aide humanitaire (nourriture, produits d’hygiène, matériel de reconstruction) et 22 tonnes d’aide (aliments, produits d’hygiène personnelle, draps, moustiquaires) annoncées par le président Gustavo Petro. Ni la France ni l’Union Européenne n’ont envoyé d’aide à Cuba.

Les votes des régimes de Kiev et de Tel-Aviv démontre tout à la fois qu’il s’agit de pouvoir antidémocratique qui n’ont – ce n’est pas une surprise – que faire des plus élémentaires droits humains et de la souveraineté des peuples, et qu’il s’agit de régime clients complètement aux ordres de Washington. C’est également le cas du pouvoir fasciste de Milei en Argentine, et du régime d’extrême droite Orban en Hongrie.

https://twitter.com/CubaMINREX/status/1983919298612539718

Les déclarations des représentants ont mis l’accent sur les dommages humanitaires et économiques (estimés à plus de 7,5 milliards de dollars pour la période mars 2024-février 2025), tout en soulignant la solidarité internationale avec Cuba. Voici une synthèse des interventions clés, avec des citations sélectionnées des dirigeants ou représentants russes, chinois, européens et latino-américains. Ces déclarations illustrent un consensus mondial croissant contre le blocus, malgré les pressions américaines, et soulignent son rôle comme obstacle à la coopération multilatérale et comme crime indéniable frappant le peuple cubain et avec lui les peuples du monde entier.

Déclarations chinoises

La Chine a réaffirmé son soutien indéfectible à Cuba, votant pour la résolution pour la 33e fois consécutive depuis 1992. Lors de la conférence de presse régulière du 31 octobre, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun, a dénoncé le blocus comme une violation flagrante de la Charte des Nations Unies et a exhorté les États-Unis à écouter l’appel mondial. Citations clés :

  • « Au cours des 60 dernières années et plus, le blocus brutal et les sanctions illégales des États-Unis contre Cuba ont gravement violé les buts et principes de la Charte des Nations Unies et d’autres normes fondamentales régissant les relations internationales, ont porté atteinte au droit de Cuba à la subsistance et au développement, et ont semé la désolation chez le peuple cubain. »
  • « L’Assemblée générale a une fois de plus adopté massivement la résolution, démontrant un large soutien international au juste combat du peuple cubain pour sauvegarder sa souveraineté nationale et s’opposer à l’ingérence extérieure et au blocus. C’est une preuve supplémentaire que les actions unilatérales et de harcèlement ne trouvent aucun soutien. »
  • « La Chine s’oppose au blocus et aux sanctions des États-Unis contre Cuba. […] Nous exhortons les États-Unis à écouter l’appel écrasant de la communauté internationale, à lever immédiatement leur blocus et leurs sanctions contre Cuba, et à retirer Cuba de la prétendue « liste des parrains d’États du terrorisme ». »

Pékin a souligné que la Chine continuerait à soutenir Cuba dans sa lutte contre l’ingérence extérieure et pour un développement conforme à ses conditions nationales.

Déclarations russes

La Russie, fidèle à sa position historique, a fermement condamné le blocus comme une ingérence illégale dans les affaires internes de Cuba et une entrave aux droits humains. Le représentant permanent Vassily Nebenzia, s’exprimant le 28 octobre au nom de son pays, a aligné la Russie sur le Groupe des amis de la Charte des Nations Unies et a insisté sur l’urgence de lever les sanctions sans conditions préalables. Parmi les points saillants de son intervention :

https://twitter.com/RussiaUN/status/1983264384274305116
  • « Les mesures restrictives unilatérales de Washington contre La Havane violent grossièrement les principes et normes fondamentaux du droit international et sapent la coopération pour relever les défis mondiaux. La guerre des sanctions déclenchée par les États-Unis contre Cuba pour atteindre son objectif principal – le renversement du gouvernement qu’ils n’approuvent pas – est un exemple frappant d’ingérence perfide dans les affaires internes d’un État indépendant. »
  • « Au niveau humanitaire, l’embargo est le principal obstacle à la pleine réalisation des droits de l’homme à Cuba, en premier lieu dans les domaines des soins de santé, de l’éducation, de l’énergie et de la sécurité alimentaire. […] Si le blocus n’avait pas été en place, le PIB de Cuba aurait crû de plus de 9 % en 2024, ce qui aurait été l’un des taux de croissance les plus élevés de l’hémisphère occidental. »
  • « Nous considérons inacceptable de poursuivre la pratique néfaste de labelliser Cuba, y compris en l’accusant de trafic d’êtres humains lorsqu’il s’agit d’apporter une aide tant nécessaire par des spécialistes médicaux cubains qui travaillent dans des conditions difficiles, principalement en Amérique latine, en Afrique et dans la région Asie-Pacifique. »

La Russie a voté en faveur et a réitéré son appel à l’abolition de la liste américaine des « États parrains du terrorisme », qualifiée d’« outil illégitime de pression

Déclarations des pays d’Amérique latine

Les pays latino-américains ont majoritairement soutenu la résolution, avec des voix unanimes en faveur de la levée du blocus comme un acte de solidarité régionale. Des déclarations marquantes proviennent du Mexique, du Venezuela et du Nicaragua, soulignant l’illégalité du blocus et son impact sur la souveraineté.

  • Mexique : Le représentant mexicain a dénoncé le « mépris continu » des États-Unis pour la volonté majoritaire de la communauté internationale, lors du débat à l’UNGA. Citations :
    • « Nous observons un mépris continu pour la volonté majoritaire de la communauté internationale et les résolutions de cette Assemblée générale. Il semble que nous ne puissions toujours pas échapper aux préjugés et intolérances de la Guerre froide, qui a démontré son échec indéniable. »
    • « Le Mexique plaidera toujours pour la résolution pacifique des différends et rejette les blocus commerciaux, qui ne nuisent qu’au bien-être des nations. […] Cela affecte non seulement la souveraineté du peuple cubain, mais aussi les intérêts des pays tiers. Toute mesure unilatérale contrevient à la Charte des Nations Unies et aux principes constitutionnels de la politique étrangère mexicaine. »
    • « Le peuple cubain mérite un avenir plus prometteur et ne devrait pas continuer à être contraint par des décisions prises dans un contexte historique différent. »
  • Venezuela : Le ministère des Affaires étrangères vénézuélien a salué les résultats du vote comme une victoire contre le « blocus décennal des États-Unis ». Bien que le texte complet de l’intervention de l’ambassadeur Samuel Moncada ne soit pas disponible, le communiqué officiel souligne : « Le Venezuela salue les résultats du vote de l’Assemblée générale des Nations Unies sur la levée du blocus décennal des États-Unis contre Cuba », qualifiant cela de « triomphe de la justice internationale ».
  • Nicaragua : Le Nicaragua a condamné le blocus comme une mesure illégale visant à saper la souveraineté cubaine. Lors de l’intervention à l’UNGA : « Le Nicaragua affirme que le blocus est une mesure visant à miner la souveraineté de Cuba, tentant de provoquer un changement politique en asphyxiant son économie et son peuple. C’est une violation flagrante des droits humains et du droit international. » Le pays a réaffirmé sa « solidarité inébranlable » avec Cuba.

Note : L’Argentine a rompu avec la tradition régionale en votant contre, marquant un virage diplomatique sous son gouvernement actuel. Le Brésil, bien qu’ayant voté en faveur, n’a pas émis de déclaration publique détaillée au-delà d’appels préalables à une « offensive de solidarité » contre le blocus.politique et économique ».

https://twitter.com/EmbaCubaFrancia/status/1984770257198657918

REITERA MÉXICO FIN DE BLOQUEO COMERCIAL A CUBA

Hoy, el embajador Héctor Vasconcelos (@HVasconcelos_) de @MexOnu, en representación de la @SRE_mx, reiteró su solidaridad con Cuba y la necesidad urgente de poner fin al bloqueo económico, comercial y financiero impuesto a ese país.… pic.twitter.com/ATh4urxxUw

— Relaciones Exteriores (@SRE_mx) October 29, 2025

Déclarations des pays européens

L’Union européenne (UE), représentée par l’ambassadeur danois Christina Markus Lassen au nom de 19 États membres (Autriche, Belgique, Croatie, Chypre, Danemark, Finlande, France, Allemagne, Grèce, Irlande, Italie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Portugal, Slovaquie, Slovénie, Espagne et Suède), a voté en faveur de la résolution tout en exprimant des préoccupations sur les droits humains à Cuba. L’explication de vote, prononcée le 29 octobre, met en balance les effets néfastes du blocus et un appel au dialogue. Extraits principaux :

  • « L’embargo endommage l’économie de Cuba, restreint le commerce et les investissements vitaux pour la modernisation et la croissance, et limite l’accès à des biens essentiels comme les produits pharmaceutiques et les fournitures médicales. Le lever pourrait renforcer les réformes et bénéficier aux Cubains. »
  • « L’UE exprime sa préoccupation quant à la situation des droits de l’homme à Cuba, en particulier après les événements de juillet 2021, y compris les jugements sévères et les restrictions aux droits civils et politiques. Elle appelle à accorder les libertés (d’assemblée, d’expression, d’information), à libérer les prisonniers, à ratifier les pactes de l’ONU et à inviter les Procédures spéciales de l’ONU. »
  • « Les sanctions américaines nuisent aux intérêts de l’UE via leur extraterritorialité, violant les règles commerciales. L’UE s’oppose à l’activation des titres III/IV de l’Acte Helms-Burton (2019), qui brise les accords UE-États-Unis, et utilisera ses droits à l’OMC, le Règlement de blocage de l’UE et d’autres mesures pour protéger les entités européennes. »

L’UE a salué l’Accord de dialogue politique et de coopération UE-Cuba (PDCA), en vigueur provisoire depuis huit ans, comme un outil pour promouvoir le développement durable et les droits humains via un dialogue inclusif sans conditions préalables. La Hongrie a voté contre, rompant avec la position collective.

De fait, ni l’Union Européenne, ni les gouvernements européens ne vont au delà de ces mots : chacun d’entre eux obéis à Washington et applique le blocus. Car lorsque ce n’est pas le cas, les USA leur imposent comme cela a été le cas à l’encontre de la banque société générale, des milliards d’euros d’amende.

JBC pour www.initiative-communiste.fr

⚠️Pour être plus clair : #Cuba n’a rien refusé, car le gouvt américain n’a rien proposé ni envoyé.

Le fossé entre les paroles et les actes du gouvt américain est immense. https://t.co/XOOed5WHeC pic.twitter.com/a1vmtgG6ap

— Ambassade de Cuba en France (@EmbaCubaFrancia) November 2, 2025

La véritable histoire des sanctions économiques des États-Unis contre Cuba

Salim Lamrani –             Le 29 octobre 2025, pour la 33e année consécutive, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, 165 pays ont exigé la levée des sanctions économiques unilatérales des États-Unis, qui étouffent la population cubaine depuis 1960. Contrairement à l’année précédente, où seul Israël s’était aligné sur Washington en s’opposant à la résolution présentée par La Havane, cette fois, cinq autres nations ont cédé aux fortes pressions exercées par l’administration Trump : l’Argentine, la Hongrie, la Macédoine du Nord, le Paraguay et l’Ukraine. Douze autres pays ont opté pour l’abstention.

Unanimement condamné par la communauté internationale chaque année depuis 1992, cet état de siège affecte gravement le bien-être de toute la population – en particulier les catégories les plus vulnérables – et constitue le principal obstacle au développement du pays. Ainsi, de mars 2024 à février 2025, les sanctions économiques des États-Unis ont coûté à Cuba la somme de 7,55 milliards de dollars – une hausse de 50% par rapport à l’année précédente – soit une moyenne de plus de 20 millions de dollars par jour et près de 15 000 dollars par minute.

Cette somme équivaut à la consommation électrique des 10 millions de Cubains pendant six ans. Avec cette même somme, Cuba pourrait remplir le panier de la ménagère de toute la population pendant six ans, couvrir les besoins en médicaments du pays pendant 22 ans ou garantir les transports publics nationaux pour les six prochaines décennies.

            Imposées par le président Eisenhower dans le but de renverser le gouvernement révolutionnaire de Fidel Castro, les sanctions ont été maintenues et renforcées par les différents gouvernements étasuniens. Elles présentent des caractéristiques extraterritoriales – la loi Torricelli de 1992, par exemple –, ce qui signifie qu’elles s’appliquent au-delà des frontières nationales, touchant tous les pays du monde. Ainsi, tout navire étranger qui accoste dans un port cubain se voit interdire l’entrée aux États-Unis pendant six mois. L’objectif de cette législation est d’empêcher le développement du commerce international de Cuba avec le reste du monde.

Les sanctions sont également rétroactives en vertu de la loi Helms-Burton de 1996, qui pénalise les entreprises étrangères investissant dans des propriétés à Cuba ayant appartenu à des citoyens étasuniens dans les années 1960. Cela constitue une aberration juridique, car une loi ne peut normalement pas s’appliquer à des faits antérieurs à son adoption. Le but de ce texte – qui porte atteinte à la souveraineté de Cuba ainsi qu’à celle des pays souhaitant entretenir des relations normales avec La Havane – est de priver l’île d’investissements étrangers.

La rhétorique diplomatique étasunienne pour justifier le maintien d’une politique hostile envers Cuba n’a cessé d’évoluer au fil du temps. En 1960, lorsque Eisenhower a imposé les premières mesures coercitives unilatérales, il a motivé sa décision en évoquant la nationalisation de propriétés étasuniennes. En 1962, lorsque son successeur, John F. Kennedy, a décrété des sanctions totales contre l’île, il a invoqué l’alliance avec l’Union soviétique. Dans les années 1970 et 1980, Washington a expliqué que le soutien de La Havane aux mouvements révolutionnaires et indépendantistes à travers le monde constituait un obstacle à un changement de politique. Enfin, depuis l’effondrement de l’URSS, les États-Unis avancent la question de la démocratie et des droits de l’homme pour prolonger leur guerre économique.

Si une trêve a pu être observée durant le second mandat de Barack Obama, l’arrivée de Donald Trump a marqué une recrudescence des sanctions contre l’île. Au cours de sa première présidence, il a imposé pas moins de 243 nouvelles mesures coercitives, dont 50 en pleine pandémie de Covid-19, soit en moyenne une sanction supplémentaire par semaine pendant quatre ans. Il a également inscrit Cuba sur la liste des pays soutenant le terrorisme. Depuis lors, plus de 1 000 banques internationales ont refusé toute collaboration avec l’île – qui a un besoin crucial de crédits et d’investissements étrangers –, par crainte de représailles. Quant à son successeur, Joe Biden, au lieu de revenir à une approche plus constructive, comme lors de la période 2014-2016 lorsqu’il était vice-président, il a choisi de maintenir les nouvelles sanctions.

Ainsi, plus de 80% de la population cubaine est née sous le régime des sanctions imposées par Washington. Celles-ci ont coûté à l’île un total de 170 milliards de dollars, une somme qui permettrait de couvrir le panier de la ménagère pour chaque famille cubaine pendant plus de 100 ans ! Chaque année, elles représentent une perte de plus de 7 milliards de dollars pour l’île. Sans les sanctions économiques, le taux de croissance de Cuba atteindrait les 10%.

Selon l’ONU, « les droits humains fondamentaux, notamment le droit à l’alimentation, à la santé, à l’éducation, les droits économiques et sociaux, le droit à la vie et au développement, subissent les conséquences » de l’état de siège anachronique, cruel et illégal imposé par Washington à 10 millions de Cubains. Les mesures coercitives unilatérales étasuniennes contreviennent ainsi aux principes fondamentaux du droit international et de la Charte des Nations unies.

Les sanctions économiques illustrent l’incapacité des États-Unis à reconnaître l’indépendance de Cuba et à accepter que l’île ait choisi un système politique et un modèle socio-économique différents. Il n’existe qu’une seule issue à ce conflit asymétrique opposant Washington à La Havane : un dialogue respectueux, fondé sur l’égalité souveraine, la réciprocité et la non-ingérence dans les affaires intérieures.

Tags: blocus de cubaCUBA
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